Toujours pas d'accord, évidemment, avec "maître d'adaptation" - sauf s'il s'agit d'adapter l'école à l'enfant, ce qui n'est bien sûr pas le cas dans la réalité...
"Nous" n'avons pas d'appellation, type "rééducateur", même si la FNAME veut imposer celle de "psychopédagogue". Les francophones ont orthopédagogues, qui ne me convient pas d'avantage (j'ai quelques difficultés personnelles avec l'ortho...).
Nous restons des enseignants spécialisés chargés des aides à dominante pédagogique. Ce qui me permet de revendiquer :
- l'enseignant - que je reste,
- le spécialisé - avec une année lourde de formation complémentaire,
- les aides - pour mon côté Saint-Bernard ,
- le pédagogique - qui est mon fond de commerce, à côté des autres, en complément, rééducateur ou psychologue,
- la dominante - qui signale que le pédagogique n'est pas le tout d'un gamin, qui peut aussi nécessiter d'autres types d'aides, et que le pédagogique n'est pas le tout de ma pratique, qui peut emprunter à d'autres champs (l'entretien d'explicitation, par exemple).
Un positionnement ouvert, toujours à construire et à expliquer, certes moins rassurant et moins reposant qu'une étiquette bien nette, mais qui rend indispensable sa négociation avec les partenaires...
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Modifié en dernier par Pascal Ourghanlian le 25 sept. 2005 19:15, modifié 1 fois.
Cordialement,
Pascal Ourghanlian
Pascal Ourghanlian
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