Je suis entièrement d'accord avec Clairea qui revient enfin sur ce forum.
Vous devez réussir votre examen, bien sûr ; mais je vous avoue que je fatigue aussi de voir mes collègues s'angoisser en préparant leur inspection ; il faudrait des enfants images pour réussir des séances parfaites avec des pédagogues exceptionnels ; les élèves qui risqueraient de sortir du cadre finissent par devenir gênants même dans le spécialisé.
Si vos élèves parlent et mettent en scène l'histoire, je suppose qu'ils vont le faire avec leur engagement personnel dans l'histoire et ce qui les a touchés intimement de celle-ci. Le travail de l'enseignant n'est-il pas de les aider à arriver à exprimer cela dans un langage compréhensible qui permet à tous de les reconnaître symboliquement ? Je veux dire que même si la trame de votre histoire est respectée, il y aura forcément des inventions des enfants ou des oublis ou des rajouts.
m escudie
Mémoire CAPA-SH D idées
Pour essayer d'être plus explicite 
Les préoccupations autour du support de l'activité, à savoir assez pédagogique ou trop symbolique, me semblent inutiles car tout support est susceptible de détournement.
Il me semble que l'on a essentiellement à accepter cela, c'est à dire à accepter le sujet, et à s'interroger sur le positionnement du pédagogue.
Ce qui ne peut se faire qu'après une acceptation ou une prise de conscience de tous les malentendus de la communication pédagogique du côté de l'enfant, et plutôt que de questionner le type de support, questionner la place que l'on va occuper.
Le dernier détournement de ce type pour le quel j ai été prise à témoin concernait de l'orthographe : naje pour nage et les conséquences de cette erreur sont édifiantes ...
Bref, être pédagogue c'est occuper une place particulière, ce n'est pas le support qui vous fera faire l'économie du sujet désirant
En espérant être plus compréhensible.
Les préoccupations autour du support de l'activité, à savoir assez pédagogique ou trop symbolique, me semblent inutiles car tout support est susceptible de détournement.
Il me semble que l'on a essentiellement à accepter cela, c'est à dire à accepter le sujet, et à s'interroger sur le positionnement du pédagogue.
Ce qui ne peut se faire qu'après une acceptation ou une prise de conscience de tous les malentendus de la communication pédagogique du côté de l'enfant, et plutôt que de questionner le type de support, questionner la place que l'on va occuper.
Le dernier détournement de ce type pour le quel j ai été prise à témoin concernait de l'orthographe : naje pour nage
et les conséquences de cette erreur sont édifiantes ...Bref, être pédagogue c'est occuper une place particulière, ce n'est pas le support qui vous fera faire l'économie du sujet désirant
En espérant être plus compréhensible.