Bonjour !
J'aurais bien voulu connaître les motivations et l'envie de travailler pour chacun de vous dans le spécialisé.
C'est une branche qui me plaît beaucoup mais qui me reste très inconnue ! et comme tout le monde le sait : l'inconnu fait peur !
Je crois énormément aux enfants qui n'ont pas eu leur chance dès le départ et en tant qu'instit j'ai envie d'y croire et les aider à trouver un peu de lumière dans leur cheminement difficile !
J'ai une autre question: que signifie "troubles importants des fonctions cognitives" ?
Merci de me répondre au plus vite....
A bientot
Motivation opt D + éclaircissement sur intitulé de l'opt D
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Invité
Historiquement il remplace avantageusement le terme stigmatisant de handicap mental.
Certaines pathologies comme la trisomie n'étaient pas à proprement dit un "handicap mental" ou une "maladie mentale" mais une maladie génétique, comme l'autisme un TED, etc... C'est aussi un terme fourre-tout qui permet de regrouper toute une série de pathologies dont notamment les TCC.
En ce qui concerne la motivation pour le spécialisé, c'est souvent le résultat d'un cheminement personnel qu'il est difficile de transposer à ta situation personnelle.
On dit souvent qu'on devient enseignant pour "réparer" ou "se réparer" moi, j'ajoute souvent "se venger"
...
Personnellement je pense que c'est parce que je m'y sens plus utile et efficace que dans l'ordinaire. Un des risques pour toi mais surtout pour tes élèves et de tomber dans la toute puissance. Les termes "croyance", "lumière" m'évoquent plus mère Thérésa que celui d'un enseignant même si je les respecte.
Les principales qualités indispensables sont pour moi le calme, la patience, l'optimisme, l'humilité, la bienveillance et l'empathie...
Je te conseille avant de faire ton choix de faire un maximum de stages dans l'AIS. On a souvent tendance à idéaliser ce type de postes et la difficulté qu'il représente surtout pour un débutant.
Je recommande aussi de se frotter à l'ordinaire avant de s'orienter vers le spécialisé pour avoir une idée de la "normalité" (et surtout pour éviter d'aller dans l'AIS pour éviter l'ordinaire).
Certaines pathologies comme la trisomie n'étaient pas à proprement dit un "handicap mental" ou une "maladie mentale" mais une maladie génétique, comme l'autisme un TED, etc... C'est aussi un terme fourre-tout qui permet de regrouper toute une série de pathologies dont notamment les TCC.
En ce qui concerne la motivation pour le spécialisé, c'est souvent le résultat d'un cheminement personnel qu'il est difficile de transposer à ta situation personnelle.
On dit souvent qu'on devient enseignant pour "réparer" ou "se réparer" moi, j'ajoute souvent "se venger"
...Personnellement je pense que c'est parce que je m'y sens plus utile et efficace que dans l'ordinaire. Un des risques pour toi mais surtout pour tes élèves et de tomber dans la toute puissance. Les termes "croyance", "lumière" m'évoquent plus mère Thérésa que celui d'un enseignant même si je les respecte.
Les principales qualités indispensables sont pour moi le calme, la patience, l'optimisme, l'humilité, la bienveillance et l'empathie...
Je te conseille avant de faire ton choix de faire un maximum de stages dans l'AIS. On a souvent tendance à idéaliser ce type de postes et la difficulté qu'il représente surtout pour un débutant.
Je recommande aussi de se frotter à l'ordinaire avant de s'orienter vers le spécialisé pour avoir une idée de la "normalité" (et surtout pour éviter d'aller dans l'AIS pour éviter l'ordinaire).
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marie pierre
Je ne me considère pas mère térésa... mais bien enseignante.
Je pars du principe que quand on enseigne, il faut être optimiste comme tu le précises donc je parle aussi des petits moments de bonheur et d'émerveillement qu'on peut apporter aux enfants qui n'en ont pas forcément !
beaucoup d'enfants se retrouvent aussi dans le spécialisé car beaucoup d'enseignants les ont aussi délaissés (celui qu'on met au fond de la classe et qui dérange) et c'est pourquoi je parle de croyance car chaque enfant mérite une attention pour l'aider à prendre confiance en lui !
Je pars du principe que quand on enseigne, il faut être optimiste comme tu le précises donc je parle aussi des petits moments de bonheur et d'émerveillement qu'on peut apporter aux enfants qui n'en ont pas forcément !
beaucoup d'enfants se retrouvent aussi dans le spécialisé car beaucoup d'enseignants les ont aussi délaissés (celui qu'on met au fond de la classe et qui dérange) et c'est pourquoi je parle de croyance car chaque enfant mérite une attention pour l'aider à prendre confiance en lui !