L’ASSOCIATION UNCEVS
Union Nationale des Collectifs d’employés et d’auxiliaires de Vie Scolaire
Organise avec ses partenaires
La Ville de Nantes, Métropole Nantes, Conseil Général de Loire-Atlantique et Conseil Régional de Loire
SON CONGRES ANNUEL
« TOUS ENSEMBLE AUTOUR DU HANDICAP ET DE LEUR TEMPS DE VIE »
LE SAMEDI 24 AVRIL 2010
Salle de l’Odyssée – Espace de rencontres et de cultures
Le Bois Cesbron – 44700 ORVAULT
L’enjeu de ce congrès : EVS, AVS....derrière ces sigles de l'Education nationale se dissimulent simplement des hommes, des femmes accomplissant dans des conditions difficiles de précarité d'emploi leur mission d'accompagnement des enfants en situation de handicap dans les écoles.
Refusant la voie de la passivité, des EVS et AVS regroupés au sein de l'Uncevs ont souhaité faire rencontrer parents, collègues EVS-AVS , représentant syndicaux, institutionnels, élus, citoyens de la vie civile désireux de tenter d'apporter, sans tabou, des réponses et des solutions à un système d'accompagnement des enfants handicapés en milieu ordinaire constaté terriblement défaillant à chaque rentrée scolaire."
QUI SONT NOS INVITES
sur scène et dans le public
pour notre débat participatif ?
Les enfants d’une Classe d’Inclusion Scolaire (CLIS) , les parents
EVS – EVSH – AVSi – AVSco
Ainsi que
Notre président d’honneur
KENNETH EKLINDH
Kenneth Eklindh est l’expert de l’éducation inclusive à l’UNESCO.
Il a une grande expérience du domaine de l’éducation. Enseignant dans une école ordinaire , éducateur spécialisé , se spécialisant dans l’éducation des sourds et des malentendants. Il a travaillé dans l’administration scolaire au niveau national , participer au développement des programmes d’études, à la planification de l’éducation, aux évaluations, à la recherche, à la formation des enseignants et à la gestion des écoles. Il a été membre d’un nombre de comités et de directions nationaux. Avant d’entrer à l’UNESCO, il était le Directeur Général du National Swedish Agency for Spécial Needs Education.
Il a travaillé comme consultant dans différents pays en développement et a effectué plus de 60 missions, la plupart d’entre elles en Afrique et Moyen Orient. Il a participé à la création de l’Agence Européenne du développement des besoins spéciaux et était membre de son conseil de gestion .
Notre grand témoin
PHILIPPE VAN DEN HERREWEGHE
Philippe Van Den Herreweghe a été nommé Délégué Ministériel à l’Emploi et à l’Intégration des personnes handicapées auprès des ministères de l’Education Nationale et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Sa nomination date du 1èr Juillet 2008 .Il a été secrétaire général adjoint de l’Association pour l’Insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées (ADAPT).
MESSIEURS – MESDAMES les représentants des COLLECTIVITES TERRITORIALES
CONSEIL RÉGIONAL - CONSEIL GÉNÉRAL - NANTES METROPOLE - VILLE DE NANTES
L’INSPECTION ACADEMIQUE DE LOIRE ATLANTIQUE
Monsieur l’Inspecteur d’Académie de la Loire Atlantique , Directeur des Services Départementaux de l’Education Nationale, Mr Javaudin
Madame Templier Thomas , Inspectrice de l’Education Nationale , circonscription de Nantes-Loire Atlantique , ASH Handicap
MICHEL MENARD- Député
Député PS de Loire Atlantique, cinquième circonscription de Loire Atlantique
Michel Ménard est membre de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales de l'Assemblée nationale. Il fait également partie de la mission d'information sur la gouvernance et le financement des structures associatives et participe aux travaux de plusieurs groupes d’études, notamment sur les thématiques de la vie associative, du sport et du logement.
VINCENT SNOECK
Pour un modèle d’accessibilité en Belgique - L’Indice Passe Partout ( IPP)
IPP a le soutien financier du Ministre de la Santé, de l'Action Sociale et de l'Egalité des Chances de la Région wallonne
FRANCOIS DIBOT
Chargé de Mission, CPCA et C2RA sur mission DRTEFP/Caisse des Dépôts et Consignation
Co-fondateur et Président du groupe Mobi 22 Co-fondateur de Mobi22 France
Président de l’Association Nationale Agence 22
• AGENDA 22 , qu’est ce c’est ?
L’agenda 22 a été adopté par l’Assemblée Générale des Nations Unies le 20 décembre 1993.
Cette résolution comprend un ensemble de recommandations pour l’égalisation des chances des enfants, des jeunes et des adultes handicapés. Il sert de cadre de référence pour les Etats lors de l’élaboration de leurs programmes nationaux en faveur des personnes handicapées. L’agenda 22 retient la distinction établie par l’OMS entre l’incapacité et le handicap, défini comme l’ensemble des restrictions apportées à la participation d’une personne à la vie sociale. En cela, l’accent est mis sur l’inadéquation du milieu dans lequel vit une personne handicapée, agissant comme frein au déploiement de ses capacités. L’agenda 22 a été précurseur en favorisant le développement de politiques d’éducation et de réadaptation. Il promeut l’égalisation des chances en encourageant les Etats à une action volontariste pour faire tomber les obstacles à la pleine participation des personnes handicapées aux activités de la société. Il constitue un engagement moral et politique des Etats et un cadre à leur coopération. C’est un outil qui formule des recommandations dont les communes peuvent s'inspirer pour mettre en place une politique du handicap.
FCPE Loire Atlantique
Monsieur CADORET Philippe, Président FCPE 44
Madame CADORET Annie, représentante FCPE 44 à la MDPH 44
Fédération des Conseils de Parents d'Elèves des Ecoles Publiques
Elle a pour but de regrouper l’ensemble des parents d’élèves, de coordonner l’activité des conseils locaux, de rassembler et d’éditer toute documentation, de propager et défendre l’idéal laïque, de promouvoir et développer un service national public d’éducation gratuit, respectueux de toutes les familles de pensée
OUEST AUTISME 44
Madame la Présidente, Michèle Diels
Autisme France a été créée en 1989 à l'initiative de parents d'enfants autistes ou atteints de troubles envahissants du développement. Aujourd'hui, grâce à ses associations partenaires et affiliées et à ses délégations départementales, Autisme France forme un grand mouvement d'espoir et de solidarité. Chaque personne autiste ou atteinte de troubles envahissants du développement a droit à une vie digne, indépendante et épanouie dans le respect de sa personne et de ses possibilités. Pour atteindre ce but, Autisme France intervient auprès des pouvoirs publics pour garantir l'intégration des personnes autistes en milieu ordinaire ou la création de places adaptées en milieu spécialisé. Autisme France veille ainsi avec la plus grande vigilance à la protection des personnes autistes ou atteintes de troubles envahissants du développement contre toutes les formes de violences physiques, psychiques, sociales ou médicamenteuses. Autisme France soutient l'action des associations locales et le développement (créations ou améliorations) de structures adaptées aux personnes autistes ou atteintes de troubles envahissants du développement. Ce soutien comprend un service de coordination des actions des associations locales, la constitution d'un réseau de professionnels au service des personnes autistes ou atteintes de troubles envahissants du développement, un support logistique, une aide à la constitution des dossiers et une assistance dans le cadre des démarches administratives
MADAME CAROLINE BELLITO
Troubles Envahissants du Développement, Autisme, Syndrome d’Asperger et TED non spécifiés
Conseil en scolarisation, guidance parentale, formation enseignants, Auxiliaires de Vie Scolaire et toute personne en interaction avec le jeune T.E.D (troubles envahissants du développement )
THIERRY WATSON – JACQUES TABARD
Respectivement Chef d’établissement à l’école Blanche de Castille et Enseignant spécialisé en classe d’inclusion scolaire
( CLIS)
ANNE LOUIS NAIMI – ANNE MARIE LARROZE
Enseignante Maternelle Louis Pergaud en Petite et Grande Section . Expérience d’intégration positive d’enfants porteur de handicap .
MESDAMES – MESSIEURS les REPRÉSENTANTS DES SYNDICATS
SNUIPP FSU / SGEN CFDT / SE UNSA : National et sections départementales
FRANCOIS COCQ
Mr Cocq a en charge la Commission « Education » au Parti de Gauche
REMI CASANOVA
Maître de conférence en sciences de l’éducation à Lille 3
Pendant une vingtaine d’années, Rémi Casanova a été instituteur, professeur des écoles spécialisé puis directeur d’école et d’institut médico-éducatif. Il a ensuite été professeur à l’IUFM de Versailles, avant d’être d’enseigner les sciences de l’éducation à l’université Lille
Il est actuellement en charge de la licence Travail social et insertion sociale. Il est par ailleurs corédacteur en chef et directeur de la publication de la revue de recherche en éducation Spirale.
Coauteur, avec Alain Vulbeau, d’Adolescences, paru en février 2008 aux Presses universitaires de Nancy, il mène depuis de nombreuses années des recherches sur les violences en instituions éducatives.
JEAN LOUIS FONTAINE
Formateur et consultant, 54 ans, handicapé et éducateur spécialisé de formation. Jean-Louis Fontaine se consacre à la revalorisation de la situation des personnes handicapées et aux problématiques liées aux handicaps. Ancien conseiller municipal et administrateur de CCAS. Co-auteur du programme « Le handicap : une chance pour la France ; 250 propositions pour une France plus humaine». Président de l'association Synergie. Président du CDH.
Formateur en politiques du Handicap .
JEAN MICHEL CAUDRON
Consultant en ingénierie gérontologique, Jean-Michel CAUDRON intervient principalement dans la conception, la mise en place, le suivi et/ou l'évaluation des politiques nationales, départementales, communales ou intercommunales de projets d'établissements de retraite ou de services d'aide à domicile. Il est également expert indépendant et enseigne les politiques gérontologiques aux cadres territoriaux au sein de plusieurs Enact.
DANIEL LE SCORNET
Daniel Le Scornet est l’ancien Président de la Fédération des mutuelles de France. Représentant pour l’association « l’Appel des appels »
• L’Appel des appels, qu’est ce que c’est ?
L’Appel des appels prône le rassemblement des forces sociales et culturelles. Il invite à parler d’une seule voix pour s’opposer à la transformation de l’Etat en entreprise, au saccage des services publics et à la destruction des valeurs de solidarité humaine, de liberté intellectuelle et de justice sociale. Il témoigne qu’un futur est possible pour " l’humanité dans l’homme
DANIEL GACOIN
Consultant dans les organisations sociales et médico-social. Educateur spécialisé, thérapeute familial et titulaire d’un DESS en économie sociale
MESSIEURS – MESDAMES LES JOURNALISTES
Congrès National des EVS AVS Orvault 2010
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muriel michelin
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muriel michelin
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Re: CONGRES NATIONAL DES EVS AVS Orvault 2010
Discours de Madame Fabienne Renaud , Conseil Régional des Pays de la Loire
Au Congrès National de l'UNCEVS le samedi 24 avril 2010 à Orvault (44)
Bonjour
C’est avec un grand plaisir que je suis présente avec vous ce matin, à l’ouverture de ces rencontres et je vous remercie d’excuser Monsieur Jacques Auxiette Président du Conseil Régional des Pays de la Loire , retenu par d’autres engagements.
Vous pouvez être toutefois persuadé de l’intérêt du Président de la Région des Pays de la Loire pour les sujets que vous abordez pendant votre congrès .
Je me présente, Je m’appelle Fabienne Renaud, j’étais déjà élue dans le précédent mandat au Conseil Régional et je suis adjointe au Maire de St Herblain , ce qui explique malheureusement mon bref passage aujourd’hui . Je ne vais pas rentrer dans des questions de protocole , mais quand même , vous expliquer parce que je ne voudrais pas que mon départ précipité soit interprété comme un désintérêt .
Comme je l’expliquai à votre Présidente, nous sortons des élections régionales et comme vous le savez , il y a eut un profond renouvellement dans nos instances. De nombreux collègues sont nouveaux, et doivent prendre progressivement leur métier , donc Monsieur le Président du Conseil Régional des Pyas de la Loire, qui comme je vous le disais apporte un intérêt particulier , à souhaité que ce soit plutôt un élu qui était déjà présent dans la précédente mandature , qui soit présent pour qu’il soit porteur du message, comme le feront dans quelques mois mes collègues nouvellement élu .
Je suis donc adjointe au Maire de St Herblain, et ce week end , est celui de ma permanence et je vous quitterai pour une mission tout à fait agréables , c'est-à-dire célébrer 3 mariages et je ne sais pas si vous le savez , la loi impose à partir du moment ou c’est décidé , de célébrer les mariages dans une fourchette horaire qui ne me permette pas beaucoup de décalage, sinon les mariages pourront être annulés et je suis sur que vous ne voudrez pas pendre sur votre responsabilité l’annulation de 3 mariages.
Voila pourquoi je devrais vous quittez .
Sachez , en tant qu’élue local , j’ai eu à me battre dans le Conseil d’Ecole ou j’étais présente pour la mise en place d’une CLIS , j’étais dans le Conseil d’Ecole en tant qu’élue loca, vous le savez , la Mairie est représentée, nous voulions implanté une CLis à l’école du Soleil Levant , à St Herblain , et j’ai été très surprise de la montée du bouclier des autres parents qui voyaient comme un danger de sa mise en place, pour leurs enfants à eux. Et je vous en parle aujourd’hui encore avec de l’émotion . On avait eu un premier Conseil d’Ecole, qui n’a pas pu prendre la décision , et on a du se réunir de nouveau, pour rendre à ce moment la décision officielle d’ouvre la CLIS et les échos que j’ai aujourd’hui , parce que je ne suis plus dans le Conseil d’Ecole, c’est la joie de l’ensemble des parents , d’avoir justement cette CLIS qui à fait elle aussi grandir tous les enfants de l’école .
Je sais ce qu’il est , et je sais , on la vu toute à l’heure , combien vous êtes menacés.
L’accueil des enfants et des jeunes en situation de handicap a l’école est une élément important lorsque l’on revendique l’égalité de tous. C’set un droit fondamental pour les enfants et leurs parents d’accéder à l’éducation , droit reconnu par la Convention Internationale des Droits de l’enfant , dont nous venons de fêter les 20 ans récemment.
Le Conseil Régional des Pays de la Loire , c’est engagé depuis plusieurs années dans cette voie et dans le cadres de ses compétences . Tous les lycées de la région sont désormais rénovés et construits pour permettre d’accueillir dignement les élèves en situation de handicap. C’est le respect de l a Loi . En partenariat avec le Rectorat et l’Urpep , nous assurons également un service d’accompagnement à domicile pour les élèves qui pour des raisons médicales ou de handicap ne peuvent être accueillis dans des établissements scolaires.
Le développement des TICE , des tableaux interactifs , de l’environnement numérique doit permettent de rendre tout cela plus simple . Nous savons plus globalement , la situation de la prise en compte du handicap dans notre pays , est encore très loin d’être suffisant our les enfants , les adolescents et les adultes.
Nous venons, lors des élections régionales de prendre un nouvel engagement , très fort, celui de bâtir un AGENDA 22 pour la pleine citoyenneté des personnes en situation de handicap. Sous ce terme , un peu barbare et techno d’AGENDA 22 , c’est bien un nouveau cadre qui s’appuie sur les préconisations de l’assemblée des Nations Unies dont vous à parlez Madame Michelin , adopté en 1993 qui permet de donner un programme cohérent et transversal .
Les quatre années de ce nouveau mandat, nous permettrons de poursuivre , nos politiques d’égalité des droits pour tous .
Au delà des politiques publiques , la question des prises en charge du handicap est bien entendu, lié à l’accompagnement de l’adulte formé pour réalisé cette mission essentielles dans les meilleures conditions.
Vos missions à vous , Employés de Vie Scolaire , Auxiliaire de vie scolaire , est alors excessivement important. Je vous apporte au nom du Président du Conseil Régional et de l’ensemble de nos collègues de la majorité régionale tout notre soutien à votre action pour lutter contre la précarité qui malheureusement est votre quotidien .
Il est inacceptable que vos emplois ne soient pas reconnus comme des missions essentielles et au delà des misions, c’est également vos situations personnelles qui sont si peu prise en compte ; salaires, précarité et formation.
Malheureusement la situation fait école dans notre pays et c’est de plus en plus difficile , suppression de 16000 postes dans le budget 2010 , suppression de la carte scolaire, des RAsed, réforme du lycée, c’est insatisfaisant pour la communauté éducative, et la liste est longue des difficultés pour le service public national d’éducation.
Votre journée , son programme ambitieux est le signe de votre combattivité et de votre engagement pour accompagner les enfants et leurs familles . Cette énergie démontre l’importance de votre action et j’adresse tous mes vœux de réussite aux organisateurs de cette rencontre. Il se sont fortement mobilisés , je le sais .
Comme je vous le disais , je ne pourrai pas rester avec vous, mais je sais que nous aurons d’autres occasions de pouvoir échanger , j’espère que nous pourrons avec les élus en charge des questions d’éducation et du handicap , imaginer comment nous pourrons accompagné vos projets. Nous seront donc à même de nous revoir .
Je vous souhaite à toutes et à tous , une excellente journée, et je vous prie encore de bien vouloir excusés mon départ .
Merci
Au Congrès National de l'UNCEVS le samedi 24 avril 2010 à Orvault (44)
Bonjour
C’est avec un grand plaisir que je suis présente avec vous ce matin, à l’ouverture de ces rencontres et je vous remercie d’excuser Monsieur Jacques Auxiette Président du Conseil Régional des Pays de la Loire , retenu par d’autres engagements.
Vous pouvez être toutefois persuadé de l’intérêt du Président de la Région des Pays de la Loire pour les sujets que vous abordez pendant votre congrès .
Je me présente, Je m’appelle Fabienne Renaud, j’étais déjà élue dans le précédent mandat au Conseil Régional et je suis adjointe au Maire de St Herblain , ce qui explique malheureusement mon bref passage aujourd’hui . Je ne vais pas rentrer dans des questions de protocole , mais quand même , vous expliquer parce que je ne voudrais pas que mon départ précipité soit interprété comme un désintérêt .
Comme je l’expliquai à votre Présidente, nous sortons des élections régionales et comme vous le savez , il y a eut un profond renouvellement dans nos instances. De nombreux collègues sont nouveaux, et doivent prendre progressivement leur métier , donc Monsieur le Président du Conseil Régional des Pyas de la Loire, qui comme je vous le disais apporte un intérêt particulier , à souhaité que ce soit plutôt un élu qui était déjà présent dans la précédente mandature , qui soit présent pour qu’il soit porteur du message, comme le feront dans quelques mois mes collègues nouvellement élu .
Je suis donc adjointe au Maire de St Herblain, et ce week end , est celui de ma permanence et je vous quitterai pour une mission tout à fait agréables , c'est-à-dire célébrer 3 mariages et je ne sais pas si vous le savez , la loi impose à partir du moment ou c’est décidé , de célébrer les mariages dans une fourchette horaire qui ne me permette pas beaucoup de décalage, sinon les mariages pourront être annulés et je suis sur que vous ne voudrez pas pendre sur votre responsabilité l’annulation de 3 mariages.
Voila pourquoi je devrais vous quittez .
Sachez , en tant qu’élue local , j’ai eu à me battre dans le Conseil d’Ecole ou j’étais présente pour la mise en place d’une CLIS , j’étais dans le Conseil d’Ecole en tant qu’élue loca, vous le savez , la Mairie est représentée, nous voulions implanté une CLis à l’école du Soleil Levant , à St Herblain , et j’ai été très surprise de la montée du bouclier des autres parents qui voyaient comme un danger de sa mise en place, pour leurs enfants à eux. Et je vous en parle aujourd’hui encore avec de l’émotion . On avait eu un premier Conseil d’Ecole, qui n’a pas pu prendre la décision , et on a du se réunir de nouveau, pour rendre à ce moment la décision officielle d’ouvre la CLIS et les échos que j’ai aujourd’hui , parce que je ne suis plus dans le Conseil d’Ecole, c’est la joie de l’ensemble des parents , d’avoir justement cette CLIS qui à fait elle aussi grandir tous les enfants de l’école .
Je sais ce qu’il est , et je sais , on la vu toute à l’heure , combien vous êtes menacés.
L’accueil des enfants et des jeunes en situation de handicap a l’école est une élément important lorsque l’on revendique l’égalité de tous. C’set un droit fondamental pour les enfants et leurs parents d’accéder à l’éducation , droit reconnu par la Convention Internationale des Droits de l’enfant , dont nous venons de fêter les 20 ans récemment.
Le Conseil Régional des Pays de la Loire , c’est engagé depuis plusieurs années dans cette voie et dans le cadres de ses compétences . Tous les lycées de la région sont désormais rénovés et construits pour permettre d’accueillir dignement les élèves en situation de handicap. C’est le respect de l a Loi . En partenariat avec le Rectorat et l’Urpep , nous assurons également un service d’accompagnement à domicile pour les élèves qui pour des raisons médicales ou de handicap ne peuvent être accueillis dans des établissements scolaires.
Le développement des TICE , des tableaux interactifs , de l’environnement numérique doit permettent de rendre tout cela plus simple . Nous savons plus globalement , la situation de la prise en compte du handicap dans notre pays , est encore très loin d’être suffisant our les enfants , les adolescents et les adultes.
Nous venons, lors des élections régionales de prendre un nouvel engagement , très fort, celui de bâtir un AGENDA 22 pour la pleine citoyenneté des personnes en situation de handicap. Sous ce terme , un peu barbare et techno d’AGENDA 22 , c’est bien un nouveau cadre qui s’appuie sur les préconisations de l’assemblée des Nations Unies dont vous à parlez Madame Michelin , adopté en 1993 qui permet de donner un programme cohérent et transversal .
Les quatre années de ce nouveau mandat, nous permettrons de poursuivre , nos politiques d’égalité des droits pour tous .
Au delà des politiques publiques , la question des prises en charge du handicap est bien entendu, lié à l’accompagnement de l’adulte formé pour réalisé cette mission essentielles dans les meilleures conditions.
Vos missions à vous , Employés de Vie Scolaire , Auxiliaire de vie scolaire , est alors excessivement important. Je vous apporte au nom du Président du Conseil Régional et de l’ensemble de nos collègues de la majorité régionale tout notre soutien à votre action pour lutter contre la précarité qui malheureusement est votre quotidien .
Il est inacceptable que vos emplois ne soient pas reconnus comme des missions essentielles et au delà des misions, c’est également vos situations personnelles qui sont si peu prise en compte ; salaires, précarité et formation.
Malheureusement la situation fait école dans notre pays et c’est de plus en plus difficile , suppression de 16000 postes dans le budget 2010 , suppression de la carte scolaire, des RAsed, réforme du lycée, c’est insatisfaisant pour la communauté éducative, et la liste est longue des difficultés pour le service public national d’éducation.
Votre journée , son programme ambitieux est le signe de votre combattivité et de votre engagement pour accompagner les enfants et leurs familles . Cette énergie démontre l’importance de votre action et j’adresse tous mes vœux de réussite aux organisateurs de cette rencontre. Il se sont fortement mobilisés , je le sais .
Comme je vous le disais , je ne pourrai pas rester avec vous, mais je sais que nous aurons d’autres occasions de pouvoir échanger , j’espère que nous pourrons avec les élus en charge des questions d’éducation et du handicap , imaginer comment nous pourrons accompagné vos projets. Nous seront donc à même de nous revoir .
Je vous souhaite à toutes et à tous , une excellente journée, et je vous prie encore de bien vouloir excusés mon départ .
Merci
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muriel michelin
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Re: CONGRES NATIONAL DES EVS AVS Orvault 2010
L’UNCEVS remercie de tout cœur, son ami, Kenneth, par ses mots,
UNCEVS thanks from the bottom of heart, his friend, Kenneth, by its words,
sa personnalité si solidaire et une humanité très rare , d’être venu accompagnée de sa femme Lotta ,
his so united personality and a very rare humanity, for having come accompanied with his wife Lotta,
à notre congrès national des employés et auxiliaire de vie scolaire.
in our national congress of the employees and assistant helper of scholastic life.
L’inclusion, telle qu’elle à été présentée par Kenneth, est celle que nous voulions entendre
inclusion, such as it in summer introduced by Kenneth, is the one that we wanted to hear
et mettre en pratique , et aujourd’hui nous savons assurément que notre projet qui est basé
and to put into practice, and today we know surely that our plan which is based
sur les 22 règles des NATIONS UNIES, nous portera succès.
on the 22 rules of UNITED NATIONS, will carry us success.
C’est pour cela qu’il porte le titre de
It is for it that it carries title of
« INCLUSION 22 »
Samedi 24 avril 2010
Congrès UNCEVS - Orvault -
Discours
de
Monsieur Kenneth EKLINDH
Expert dans l’éducation inclusive
à
l’UNESCO
Chers nouveaux amis, collègues, mesdames et messieurs,
Les scrupules de Kenneth
« Nous avons un grand problème ensemble, parce que je ne peux pas parler français. Pour moi, c’est un
sentiment très mélangé parce que la langue française, c’est la plus belle langue dans le monde. C’est
vraiment ça ! et maintenant je vais maltraiter cette langue !.. »
Muriel : « Non, Kenneth, vraiment tu exagères ! »
« Si vous avez des tomates, des choses à jeter comme ça, c’est à Muriel qu’il faut jeter…
…Je suis apparemment handicapé ici, aujourd’hui, mais je ne veux pas faire la même chose que font tous
les handicapés : se taire et rester calme. Non ….. je veux juste communiquer avec vous. J’ai des amis ici
qui m’ont promis de m’aider. »
« Je vais expliquer quelque chose : ce qu’est l’UNESCO, comment nous travaillons avec l’éducation et
en particulier l’INCLUSION à L’UNESCO. Ce n’est pas parce que je suis nationaliste. Non ! mais, il
m’a été demandé de faire quelques remarques de mon pays d’origine qui est la Suède ».
De l’Unesco
« L’UNESCO travaille beaucoup avec des enfants qui ne disposent pas encore d’Education.
Et pour çela, nous avons développé des principes, des stratégies et des méthodes.
Mais la réalité dans le monde, c’est presque 72 Millions (d’enfants) restant encore sans
Enseignement. Je sais qu’il en existe plus. Pour ceux là, ils ont reçu un enseignement de très
très mauvaise qualité.
C’est pour cela que c’est très important de lutter pour un système qui donne le droit à
l’éducation pour les enfants. C’est un principe qui est appliqué dans presque tous les pays.
Mais si, en principe, il y existe une convention (la convention de Salamanque), elle ne reflète
pas la réalité. Les réalités sont de temps en temps très différentes. Beaucoup de gens, des
enfants, des familles disent trouver cette réalité différente à l’école.
Qui est ce groupe de 72 Million d’enfants ? Ce sont des enfants « marginalisés » et si sur cette
diapositive, c’est écrit en anglais, je suis sûr que vous comprenez ».
De l’inclusion
« Mais… Qu’est ce que l’Inclusion ? Qui va redresser ce problème ?
C’est un processus de résolution de réponse à la diversité des besoins de tous les
apprenants. C’est aussi la participation, l’égalité et la communauté de tous les apprenants,
C’est extrêmement important que l’on travaille avec ces idées en mémoire. C’est comme
je vous le décris dans la diapositive suivante. Il s’agit du droit à l’éducation. C’est un de
mes amis qui disait çela »
Le droit à l’éducation
« C’est vraiment quelque chose d’évident car, dans beaucoup de système éducatif dans le monde, les
professeurs, les ministres, les politiciens pensent que le système à la droit de choisir les enfants pour
l’éducation et en même temps affirment que l’éducation est pour tous ».
« C’est pas net de discuter de cette manière. Parce que le droit à l’éducation existe. Il ne peut être
penser à la fois que les écoles soient construites pour 80 % des enfants dans les pays disposant des
financements et pour autant laisser à l’abandon les 20 % de la population restante n’allant pas à l’école .
L’Education est considéré de temps en temps comme un coût, une charge mais ce n’est pas cela du tout :
c’est un investissement pour le pays et si le pays n’investit pas , cela « explose » !
Les conventions dans les pays étrangers
« De temps en temps, nous avons la nécessité d’avoir d’instruments légaux pour justifier quelque
chose pour les enfants. Dans ces deux diapositives, sont répertoriées les convention , les
déclarations qui évoquent l’inclusion. Malgré cela, nous avons quand même beaucoup…beaucoup
d’enfants sans éducation. Ceci veut dire que ce n’est pas seulement un « truc » que l’on signe
mais parce que ces déclarations, ces conventions arrivent à tomber dans l’oubli.
Et la France ?
Du respect global des lois françaises
« Ici en France, j’ai beaucoup de problème. Par exemple, lorsque je marche dans Paris,
je ne suis pas content et je suis fâché. Pourquoi ? parce qu’ il y existe des lois « signées »
qui imposent de ne pas se garer n’importe où et n’importe comment. Et bien tant pis, tout
le monde fait ce qu’il veut et rien n’est fait contre cela. Il y a bien que moi-même à qui
cela dérange. C’est le système français. On fait des lois mais elles ne sont pas appliquées
réellement. C’est « signé » mais c’est pas grave ! »
Du respect particulier de l’Agenda²² (convention ONU signée le 18 février 2010)
« Alors j’espère que le système français appliquera la nouvelle convention : le même droit
du peuple et pour tout le monde. Des protocoles ont été ratifiés. Il ne faudrait pas s’en
tenir qu’aux signatures. Il faut « FAIRE » et cela demeure un problème pour la France »
« Mais il est nécessaire que l’on change les attitudes. Je pense qu’il faut discuter avec
vous-même, penser à son voisin »
Changer d’attitude : L’exemple de la Suède
« Si on le respecte ce droit des handicapés d’être dans la société comme tous les autres humains, je peux
vous raconter une histoire.
Aux alentours des années 19..…
Je me souviens lorsque j’étais très jeune… il y a beaucoup d’années, comme vous le voyez ! j’étais
un enfant « normal », mais j’étais très inquiet des choses que j’ignorais. Je regardais le quartier
où j’habitais. Il y avait une personne dans une chaise roulante. Pour moi, c’était très très
intéressant. Je souhaitais regarder mais mes parents m’ont dit : « Non. Non. Non. On ne peut pas
regarder comme cela ». Alors, ils m’ont demandé de tourner la tête de l’autre côté. Ils
considéraient que ce n’était pas honnête mon attitude. Pour moi, enfant, cela a été un moment
très compliqué. Je voulais regarder mais je ne pouvais pas. Il fallait regarder ailleurs .
Comment faire ? Pour un enfant, c’est dur de comprendre cela. »
Aujourd’hui
« Si Je vous ai cité cet exemple c’est que, maintenant dans mon pays en Suède, lorsque je suis
avec des amis qui possèdent un ou des handicaps et se trouvant dans les magasins, je sais que si
le vendeur à plus de 50 ans, il va me servir. Ce serveur ignorera mes amis handicapés car on ne
doit pas parler avec eux . Au contraire, si le vendeur à moins de 50 ans, il va servir les
handicapés. Pourquoi ?
Parce que aux alentours des années 1960, une idée appelée « intégration » a commencé à se
développer. Successivement, en se détournant des écoles spéciales, les enfants ont été « placés »
en école « régulière ». Ainsi, ces enfants n’étaient ni « isolés », ni « exclus » du milieu scolaire
ordinaire.
Dans une école ordinaire, on sait que les handicapés, c’est la normalité. C’est tout à fait normal
dans mon pays qu’il ne peut être traiter les gens différemment. Non… ce n’est pas possible. Cela fait parti
de notre vie à tous et c’est pour cela que l’inclusion demeure très importante »
«Si on vit dans une société qui ne pratique pas l’inclusion , on vit dans une société exclusive et ce n’est
pas bon. »
Quelle est rôle de l’UNESCO ?
« L’UNESCO existe aujourd’hui parce qu’il s’est construit, après un sommet mondial , des résolutions
pour faciliter la paix et la compréhension des peuples.
Quel système scolaire peut dire : « Vous, vous êtes dans cette école et, vous, vous serez ici ou là ? C’est
le système éducatif développé ici. Un système éducatif social qui pense d’abord que vous êtes malade, ne
facilite pas les conditions donnant au peuple une sensation de vivre ensemble. Nous sommes égalitaire
dans la société.
Lorsque les enfants sont petits, il est donné quelque chose qui est complètement contre ce qui est établi,
entre la flexibilité et l’ablation pour les différences dans les peuples. »
Construire l’école pour tous
« Une école pour tous, c’est travailler pour une entière participation et une égalité par une
flexibilité.
Malheureusement, beaucoup de systèmes scolaire dans le monde sont inflexibles, voire très
inflexibles. Il est imaginé que les enfants apprendront les mêmes choses, sur les mêmes
temps et de la même manière. Ceci n’est pas réfléchi !
Nous le savons : par exemple, pour des enfants âgés de 7 ans dans un groupe de 30, il
existe une minorité ayant un niveau d’enfants de 4 ans et pour un autre groupe, un
niveau équivalent à celui d’enfants de 12 ans. On rassemble ces 2 groupes de niveau
différent dans une même classe en appliquant les mêmes méthodes… Ce n’est pas
possible ! Ce type de situation est à source des problèmes dans l’école »
« Il y a nécessité que la flexibilité s’applique pour varier les méthodes et «regarder » les
différents individus.
J’aspire à cette nécessité. Ce ne sont pas les enfants qui ont construits l’école, ce sont les
adultes . Il faut que l’on respecte les enfants et non les traiter comme des boites vides à
remplir. Ce n’est pas possible ! Ce sont des humains. Ce sont des personnes qui vivent. S’
il demeure possible de faciliter leur développement, il y aura un bon avancement dans la
vie après.
« Parce que l’école est très très efficace, il ne doit pas être donner aux enfants le sens négatif de
l’éducation. Ce n’est pas bon. Les enfants ne sont pas toujours au « top ». Ils existent les bons
comme les pas bons. La réflexion sur la manière qui permettra à l’enfant de se développer au
mieux doit être fait dans le respect de l’enfant.
Je n’ai jamais rencontré d’enfants qui ne voulaient pas commencer d’aller à l’école. Sans
doute les premiers jours d’école, des inquiétudes seront exprimées par des enfants mais je
rencontre beaucoup d’enfants détestant l’école au bout de 2 ou 3 ans de fréquentation.
Pourquoi ? Il faut s’essayer de réfléchir et se demander le pourquoi. L’enfant a-t-il été8
interrogé? Qu’a-t-il exprimé là-dessus ? Ces enfants disent : « je vais à l’école. Je vais
répéter ceci ou cela ». Cela ne peut être une bonne école .
Choisir entre Intégration ou inclusion.
«L’intégration peut seulement être obtenue par une préparation dans des écoles ségrégatives et
ce n’est finalement qu’une expression ! c’est pour cela qu’il existe beaucoup d’écoles exclusives ,
spécifiques de ce type le plus souvent dans l’Est de l’Europe , mais aussi dans d’autres pays .
Mais ce n’est pas possible. Prendre des enfants , les isoler dans une école spécifique pendant 10
ou 12 ans et ensuite les mettre en face à une kyrielle de spécialistes pour ensuite leur ouvrir la
porte et lui dire : ok. Maintenant, tu vas trouver ton chemin de vie tout seul. C’est un système
qui ne marche pas
Au Etats-Unis , une recherche a été effectuée. Elle a découvert des enfants ayant été dans les
écoles régulières. Leurs résultats s’avéraient bien meilleur pour leur vie future que les enfants
ayant été placés dans les écoles spéciales. Pourquoi ?
Comme à cette époque , j’étais un professeur dans une école spéciale dans mon pays en Suède . Je
me suis interrogé : Mais c’est drôle. Dans une école spéciale, nous sommes tous des spécialistes.
Nous pouvons tous donner notre avis et dans les écoles régulières il n’existe pas de semblables
spécialistes. Comment cela marche-t-il donc ?
Il a été découvert qu’en réalité, cela marche juste dans des cas exceptionnels pour une personne
atteinte d’un handicap lourd.
Par exemple : pour la recherche d’un travail , cette personne handicapée prend l’initiative de
cette démarche toute seule en sélectionnant la personne qui va l’employer.
Si on était une personne handicapée style « académique » ayant fréquenté une école spéciale, il
n’y a pas cette même manière de se conduire. Dans les écoles spéciales , il y a toujours des
spécialistes qui sont là pour vous aider à trouver un employeur avec pour objectif de chercher
d’abord des gens acceptant la cohabitation handicapés/non handicapés considérant sinon qu’ il
y aura beaucoup de problèmes ».
« L’inclusion, dans beaucoup de pays, c’est comme un but avec une méthode.
Sur les 72 Millions d’enfants sans école, il est estimé à 30 % les enfants en situation de handicap.
Pour changer cela, il faut surmonter les préjugés, les préjudices, les idées fausses, l’ignorance et
l’intolérance »
C’est une question de bon sens. Mais les gens n’ayant pas de bon sens quand il s’agit des
handicapés, c’est qu’il pense que la société les traite ainsi parce que catalogués : malade,
fragile, incapable d’autonomie. Ainsi, on ne pense pas avec « du bon sens »
Caractéristiques de l’Inclusion
« Dans les classe inclusives, il existe des caractéristiques décrits sur ce tableau et ce n’est pas
seulement valables que pour les handicapés. Tout ceci est bon pour tous les élèves parce que le
normal, l’inflexibilité dans les écoles, l’enseignement, ce n’est pas quelque chose que l’on peut
accepter à l’image de l’ adulte. Les enfant sont présents et aujourd’hui, ils n’ont rien à dire dans
les écoles. Ce n’est pas juste , mais c’est la vérité . Ne le pensez-vous pas ? »
Penser l’inclusion
« C’est évidement beaucoup de choses à penser quand on change le système scolaire. Nous
sommes entre deux systèmes. Cela coûte beaucoup parce qu’il ne peut être changé tout10
spontanément. Lorsque deux systèmes cohabitent, c’est un coût qui n’est pas double mais élevé.
Je suis convaincu que ce n’est pas dérisoire dans une perspective nouvelle d’inclusion. C’est de
l’investissement.
Sur l’inclusion et la qualité : un placement dans une classe régulière sans discuter avec le
professeur, savoir s’il est flexible ou non, s’il peut gérer cette situation et aussi si il est possible
donner des renseignements à ce professeur, cela accentue la qualité. Sans qualité on ne fait pas
de l’inclusion, et pour moi, une école disant : on a beaucoup de qualité ici, nous avons beaucoup
d’élèves , des bons résultats , mais si elle n’est pas inclusive , elle n’est pas de qualité. Donner
quelque chose à ces élèves ce qui relève d’un bon résultat, ne sera pas forcément bon pour un
adulte qui va s’intégrer dans une société humaine et moderne. »
Question de Muriel Michelin à Kenneth
« Voudrais-tu nous dire Kenneth ce qui a été dit, à Dublin, lors du 15ème anniversaire de la convention
de Salamanque : les bilans, les constats qui on été faits ? »
Réponse de Mr Kenneth
« La déclaration de Salamanque a été très importante mais il y a déjà pas mal d’années écoulées :
de 1994 à 2010. Au début, c’était comme la bouteille de ketchup. C’était par petites pressions et
maintenant, cela coule tout seul . On sait maintenant que c’est la chose « juste » à faire et à mettre en
place. Nous n’avons pas d’autres options, je crois.
J’étais à New York lors des discussions avec les commissions de travail. Je retiendrai un article :
le numéro 24 de la convention. Un article auquel tient tout particulièrement l’UNESCO et qu’elle désigne
comme le programme phare pour les handicapés. C’était très important car cet article 24 dit clairement :
c’est le droit des enfants et des familles d’avoir un placement scolaire dans les écoles régulières. Mais
aussi, il estdit que pour les enfants en situation très spéciale, comme pour les sourds ou les aveugles,
c’est une bonne chose d’avoir des classes spéciales du fait de l’utilisation de la langue des signes, le
braille.
En chine et en Mongolie, il y a quelques années, une association, avec presque rien, a réussi à
faire venir tous les aveugles à l’école. Il a été réalisé un programme très simple. L’année précédant la
rentrée scolaire de ces enfants handicapés , le professeur, les mères, les enfants, la famille ont été invités
pour un cours de braille. Suite d quoi, il a été offert des livres d’apprentissage du braille. Il faut bien
commencer par quelque chose. Le jour de la rentrée scolaire, il y avait une personne dans les classes : le
professeur qui connaissait le braille .C’est simple !
Cela ne coute presque rien d’apprendre ensemble : prof, parents, enfants et familles. De très bon
résultats sont obtenus. Pour la première fois, beaucoup de famille avec des enfants aveugles vont
pourvoir, en Chine et en Mongolie, avoir une bonne vie future. C’est un grand espoir pour L’Unesco.
Un jeune homme de là bas, que nous avons revu depuis, nous disait que, maintenant, il se sentait très
heureux dans sa vie. Sa mère était aveugle. Son père vit avec un autre handicap et moi malgré mon
handicap , j’ai fait des études pour être Masseur. Je vais m’installer dans un village (ce qui est fréquent en
chine) et je peux aujourd’hui subvenir aux besoins de mes parents »….
Fin de l’intervention sur applaudissements du public
UNCEVS thanks from the bottom of heart, his friend, Kenneth, by its words,
sa personnalité si solidaire et une humanité très rare , d’être venu accompagnée de sa femme Lotta ,
his so united personality and a very rare humanity, for having come accompanied with his wife Lotta,
à notre congrès national des employés et auxiliaire de vie scolaire.
in our national congress of the employees and assistant helper of scholastic life.
L’inclusion, telle qu’elle à été présentée par Kenneth, est celle que nous voulions entendre
inclusion, such as it in summer introduced by Kenneth, is the one that we wanted to hear
et mettre en pratique , et aujourd’hui nous savons assurément que notre projet qui est basé
and to put into practice, and today we know surely that our plan which is based
sur les 22 règles des NATIONS UNIES, nous portera succès.
on the 22 rules of UNITED NATIONS, will carry us success.
C’est pour cela qu’il porte le titre de
It is for it that it carries title of
« INCLUSION 22 »
Samedi 24 avril 2010
Congrès UNCEVS - Orvault -
Discours
de
Monsieur Kenneth EKLINDH
Expert dans l’éducation inclusive
à
l’UNESCO
Chers nouveaux amis, collègues, mesdames et messieurs,
Les scrupules de Kenneth
« Nous avons un grand problème ensemble, parce que je ne peux pas parler français. Pour moi, c’est un
sentiment très mélangé parce que la langue française, c’est la plus belle langue dans le monde. C’est
vraiment ça ! et maintenant je vais maltraiter cette langue !.. »
Muriel : « Non, Kenneth, vraiment tu exagères ! »
« Si vous avez des tomates, des choses à jeter comme ça, c’est à Muriel qu’il faut jeter…
…Je suis apparemment handicapé ici, aujourd’hui, mais je ne veux pas faire la même chose que font tous
les handicapés : se taire et rester calme. Non ….. je veux juste communiquer avec vous. J’ai des amis ici
qui m’ont promis de m’aider. »
« Je vais expliquer quelque chose : ce qu’est l’UNESCO, comment nous travaillons avec l’éducation et
en particulier l’INCLUSION à L’UNESCO. Ce n’est pas parce que je suis nationaliste. Non ! mais, il
m’a été demandé de faire quelques remarques de mon pays d’origine qui est la Suède ».
De l’Unesco
« L’UNESCO travaille beaucoup avec des enfants qui ne disposent pas encore d’Education.
Et pour çela, nous avons développé des principes, des stratégies et des méthodes.
Mais la réalité dans le monde, c’est presque 72 Millions (d’enfants) restant encore sans
Enseignement. Je sais qu’il en existe plus. Pour ceux là, ils ont reçu un enseignement de très
très mauvaise qualité.
C’est pour cela que c’est très important de lutter pour un système qui donne le droit à
l’éducation pour les enfants. C’est un principe qui est appliqué dans presque tous les pays.
Mais si, en principe, il y existe une convention (la convention de Salamanque), elle ne reflète
pas la réalité. Les réalités sont de temps en temps très différentes. Beaucoup de gens, des
enfants, des familles disent trouver cette réalité différente à l’école.
Qui est ce groupe de 72 Million d’enfants ? Ce sont des enfants « marginalisés » et si sur cette
diapositive, c’est écrit en anglais, je suis sûr que vous comprenez ».
De l’inclusion
« Mais… Qu’est ce que l’Inclusion ? Qui va redresser ce problème ?
C’est un processus de résolution de réponse à la diversité des besoins de tous les
apprenants. C’est aussi la participation, l’égalité et la communauté de tous les apprenants,
C’est extrêmement important que l’on travaille avec ces idées en mémoire. C’est comme
je vous le décris dans la diapositive suivante. Il s’agit du droit à l’éducation. C’est un de
mes amis qui disait çela »
Le droit à l’éducation
« C’est vraiment quelque chose d’évident car, dans beaucoup de système éducatif dans le monde, les
professeurs, les ministres, les politiciens pensent que le système à la droit de choisir les enfants pour
l’éducation et en même temps affirment que l’éducation est pour tous ».
« C’est pas net de discuter de cette manière. Parce que le droit à l’éducation existe. Il ne peut être
penser à la fois que les écoles soient construites pour 80 % des enfants dans les pays disposant des
financements et pour autant laisser à l’abandon les 20 % de la population restante n’allant pas à l’école .
L’Education est considéré de temps en temps comme un coût, une charge mais ce n’est pas cela du tout :
c’est un investissement pour le pays et si le pays n’investit pas , cela « explose » !
Les conventions dans les pays étrangers
« De temps en temps, nous avons la nécessité d’avoir d’instruments légaux pour justifier quelque
chose pour les enfants. Dans ces deux diapositives, sont répertoriées les convention , les
déclarations qui évoquent l’inclusion. Malgré cela, nous avons quand même beaucoup…beaucoup
d’enfants sans éducation. Ceci veut dire que ce n’est pas seulement un « truc » que l’on signe
mais parce que ces déclarations, ces conventions arrivent à tomber dans l’oubli.
Et la France ?
Du respect global des lois françaises
« Ici en France, j’ai beaucoup de problème. Par exemple, lorsque je marche dans Paris,
je ne suis pas content et je suis fâché. Pourquoi ? parce qu’ il y existe des lois « signées »
qui imposent de ne pas se garer n’importe où et n’importe comment. Et bien tant pis, tout
le monde fait ce qu’il veut et rien n’est fait contre cela. Il y a bien que moi-même à qui
cela dérange. C’est le système français. On fait des lois mais elles ne sont pas appliquées
réellement. C’est « signé » mais c’est pas grave ! »
Du respect particulier de l’Agenda²² (convention ONU signée le 18 février 2010)
« Alors j’espère que le système français appliquera la nouvelle convention : le même droit
du peuple et pour tout le monde. Des protocoles ont été ratifiés. Il ne faudrait pas s’en
tenir qu’aux signatures. Il faut « FAIRE » et cela demeure un problème pour la France »
« Mais il est nécessaire que l’on change les attitudes. Je pense qu’il faut discuter avec
vous-même, penser à son voisin »
Changer d’attitude : L’exemple de la Suède
« Si on le respecte ce droit des handicapés d’être dans la société comme tous les autres humains, je peux
vous raconter une histoire.
Aux alentours des années 19..…
Je me souviens lorsque j’étais très jeune… il y a beaucoup d’années, comme vous le voyez ! j’étais
un enfant « normal », mais j’étais très inquiet des choses que j’ignorais. Je regardais le quartier
où j’habitais. Il y avait une personne dans une chaise roulante. Pour moi, c’était très très
intéressant. Je souhaitais regarder mais mes parents m’ont dit : « Non. Non. Non. On ne peut pas
regarder comme cela ». Alors, ils m’ont demandé de tourner la tête de l’autre côté. Ils
considéraient que ce n’était pas honnête mon attitude. Pour moi, enfant, cela a été un moment
très compliqué. Je voulais regarder mais je ne pouvais pas. Il fallait regarder ailleurs .
Comment faire ? Pour un enfant, c’est dur de comprendre cela. »
Aujourd’hui
« Si Je vous ai cité cet exemple c’est que, maintenant dans mon pays en Suède, lorsque je suis
avec des amis qui possèdent un ou des handicaps et se trouvant dans les magasins, je sais que si
le vendeur à plus de 50 ans, il va me servir. Ce serveur ignorera mes amis handicapés car on ne
doit pas parler avec eux . Au contraire, si le vendeur à moins de 50 ans, il va servir les
handicapés. Pourquoi ?
Parce que aux alentours des années 1960, une idée appelée « intégration » a commencé à se
développer. Successivement, en se détournant des écoles spéciales, les enfants ont été « placés »
en école « régulière ». Ainsi, ces enfants n’étaient ni « isolés », ni « exclus » du milieu scolaire
ordinaire.
Dans une école ordinaire, on sait que les handicapés, c’est la normalité. C’est tout à fait normal
dans mon pays qu’il ne peut être traiter les gens différemment. Non… ce n’est pas possible. Cela fait parti
de notre vie à tous et c’est pour cela que l’inclusion demeure très importante »
«Si on vit dans une société qui ne pratique pas l’inclusion , on vit dans une société exclusive et ce n’est
pas bon. »
Quelle est rôle de l’UNESCO ?
« L’UNESCO existe aujourd’hui parce qu’il s’est construit, après un sommet mondial , des résolutions
pour faciliter la paix et la compréhension des peuples.
Quel système scolaire peut dire : « Vous, vous êtes dans cette école et, vous, vous serez ici ou là ? C’est
le système éducatif développé ici. Un système éducatif social qui pense d’abord que vous êtes malade, ne
facilite pas les conditions donnant au peuple une sensation de vivre ensemble. Nous sommes égalitaire
dans la société.
Lorsque les enfants sont petits, il est donné quelque chose qui est complètement contre ce qui est établi,
entre la flexibilité et l’ablation pour les différences dans les peuples. »
Construire l’école pour tous
« Une école pour tous, c’est travailler pour une entière participation et une égalité par une
flexibilité.
Malheureusement, beaucoup de systèmes scolaire dans le monde sont inflexibles, voire très
inflexibles. Il est imaginé que les enfants apprendront les mêmes choses, sur les mêmes
temps et de la même manière. Ceci n’est pas réfléchi !
Nous le savons : par exemple, pour des enfants âgés de 7 ans dans un groupe de 30, il
existe une minorité ayant un niveau d’enfants de 4 ans et pour un autre groupe, un
niveau équivalent à celui d’enfants de 12 ans. On rassemble ces 2 groupes de niveau
différent dans une même classe en appliquant les mêmes méthodes… Ce n’est pas
possible ! Ce type de situation est à source des problèmes dans l’école »
« Il y a nécessité que la flexibilité s’applique pour varier les méthodes et «regarder » les
différents individus.
J’aspire à cette nécessité. Ce ne sont pas les enfants qui ont construits l’école, ce sont les
adultes . Il faut que l’on respecte les enfants et non les traiter comme des boites vides à
remplir. Ce n’est pas possible ! Ce sont des humains. Ce sont des personnes qui vivent. S’
il demeure possible de faciliter leur développement, il y aura un bon avancement dans la
vie après.
« Parce que l’école est très très efficace, il ne doit pas être donner aux enfants le sens négatif de
l’éducation. Ce n’est pas bon. Les enfants ne sont pas toujours au « top ». Ils existent les bons
comme les pas bons. La réflexion sur la manière qui permettra à l’enfant de se développer au
mieux doit être fait dans le respect de l’enfant.
Je n’ai jamais rencontré d’enfants qui ne voulaient pas commencer d’aller à l’école. Sans
doute les premiers jours d’école, des inquiétudes seront exprimées par des enfants mais je
rencontre beaucoup d’enfants détestant l’école au bout de 2 ou 3 ans de fréquentation.
Pourquoi ? Il faut s’essayer de réfléchir et se demander le pourquoi. L’enfant a-t-il été8
interrogé? Qu’a-t-il exprimé là-dessus ? Ces enfants disent : « je vais à l’école. Je vais
répéter ceci ou cela ». Cela ne peut être une bonne école .
Choisir entre Intégration ou inclusion.
«L’intégration peut seulement être obtenue par une préparation dans des écoles ségrégatives et
ce n’est finalement qu’une expression ! c’est pour cela qu’il existe beaucoup d’écoles exclusives ,
spécifiques de ce type le plus souvent dans l’Est de l’Europe , mais aussi dans d’autres pays .
Mais ce n’est pas possible. Prendre des enfants , les isoler dans une école spécifique pendant 10
ou 12 ans et ensuite les mettre en face à une kyrielle de spécialistes pour ensuite leur ouvrir la
porte et lui dire : ok. Maintenant, tu vas trouver ton chemin de vie tout seul. C’est un système
qui ne marche pas
Au Etats-Unis , une recherche a été effectuée. Elle a découvert des enfants ayant été dans les
écoles régulières. Leurs résultats s’avéraient bien meilleur pour leur vie future que les enfants
ayant été placés dans les écoles spéciales. Pourquoi ?
Comme à cette époque , j’étais un professeur dans une école spéciale dans mon pays en Suède . Je
me suis interrogé : Mais c’est drôle. Dans une école spéciale, nous sommes tous des spécialistes.
Nous pouvons tous donner notre avis et dans les écoles régulières il n’existe pas de semblables
spécialistes. Comment cela marche-t-il donc ?
Il a été découvert qu’en réalité, cela marche juste dans des cas exceptionnels pour une personne
atteinte d’un handicap lourd.
Par exemple : pour la recherche d’un travail , cette personne handicapée prend l’initiative de
cette démarche toute seule en sélectionnant la personne qui va l’employer.
Si on était une personne handicapée style « académique » ayant fréquenté une école spéciale, il
n’y a pas cette même manière de se conduire. Dans les écoles spéciales , il y a toujours des
spécialistes qui sont là pour vous aider à trouver un employeur avec pour objectif de chercher
d’abord des gens acceptant la cohabitation handicapés/non handicapés considérant sinon qu’ il
y aura beaucoup de problèmes ».
« L’inclusion, dans beaucoup de pays, c’est comme un but avec une méthode.
Sur les 72 Millions d’enfants sans école, il est estimé à 30 % les enfants en situation de handicap.
Pour changer cela, il faut surmonter les préjugés, les préjudices, les idées fausses, l’ignorance et
l’intolérance »
C’est une question de bon sens. Mais les gens n’ayant pas de bon sens quand il s’agit des
handicapés, c’est qu’il pense que la société les traite ainsi parce que catalogués : malade,
fragile, incapable d’autonomie. Ainsi, on ne pense pas avec « du bon sens »
Caractéristiques de l’Inclusion
« Dans les classe inclusives, il existe des caractéristiques décrits sur ce tableau et ce n’est pas
seulement valables que pour les handicapés. Tout ceci est bon pour tous les élèves parce que le
normal, l’inflexibilité dans les écoles, l’enseignement, ce n’est pas quelque chose que l’on peut
accepter à l’image de l’ adulte. Les enfant sont présents et aujourd’hui, ils n’ont rien à dire dans
les écoles. Ce n’est pas juste , mais c’est la vérité . Ne le pensez-vous pas ? »
Penser l’inclusion
« C’est évidement beaucoup de choses à penser quand on change le système scolaire. Nous
sommes entre deux systèmes. Cela coûte beaucoup parce qu’il ne peut être changé tout10
spontanément. Lorsque deux systèmes cohabitent, c’est un coût qui n’est pas double mais élevé.
Je suis convaincu que ce n’est pas dérisoire dans une perspective nouvelle d’inclusion. C’est de
l’investissement.
Sur l’inclusion et la qualité : un placement dans une classe régulière sans discuter avec le
professeur, savoir s’il est flexible ou non, s’il peut gérer cette situation et aussi si il est possible
donner des renseignements à ce professeur, cela accentue la qualité. Sans qualité on ne fait pas
de l’inclusion, et pour moi, une école disant : on a beaucoup de qualité ici, nous avons beaucoup
d’élèves , des bons résultats , mais si elle n’est pas inclusive , elle n’est pas de qualité. Donner
quelque chose à ces élèves ce qui relève d’un bon résultat, ne sera pas forcément bon pour un
adulte qui va s’intégrer dans une société humaine et moderne. »
Question de Muriel Michelin à Kenneth
« Voudrais-tu nous dire Kenneth ce qui a été dit, à Dublin, lors du 15ème anniversaire de la convention
de Salamanque : les bilans, les constats qui on été faits ? »
Réponse de Mr Kenneth
« La déclaration de Salamanque a été très importante mais il y a déjà pas mal d’années écoulées :
de 1994 à 2010. Au début, c’était comme la bouteille de ketchup. C’était par petites pressions et
maintenant, cela coule tout seul . On sait maintenant que c’est la chose « juste » à faire et à mettre en
place. Nous n’avons pas d’autres options, je crois.
J’étais à New York lors des discussions avec les commissions de travail. Je retiendrai un article :
le numéro 24 de la convention. Un article auquel tient tout particulièrement l’UNESCO et qu’elle désigne
comme le programme phare pour les handicapés. C’était très important car cet article 24 dit clairement :
c’est le droit des enfants et des familles d’avoir un placement scolaire dans les écoles régulières. Mais
aussi, il estdit que pour les enfants en situation très spéciale, comme pour les sourds ou les aveugles,
c’est une bonne chose d’avoir des classes spéciales du fait de l’utilisation de la langue des signes, le
braille.
En chine et en Mongolie, il y a quelques années, une association, avec presque rien, a réussi à
faire venir tous les aveugles à l’école. Il a été réalisé un programme très simple. L’année précédant la
rentrée scolaire de ces enfants handicapés , le professeur, les mères, les enfants, la famille ont été invités
pour un cours de braille. Suite d quoi, il a été offert des livres d’apprentissage du braille. Il faut bien
commencer par quelque chose. Le jour de la rentrée scolaire, il y avait une personne dans les classes : le
professeur qui connaissait le braille .C’est simple !
Cela ne coute presque rien d’apprendre ensemble : prof, parents, enfants et familles. De très bon
résultats sont obtenus. Pour la première fois, beaucoup de famille avec des enfants aveugles vont
pourvoir, en Chine et en Mongolie, avoir une bonne vie future. C’est un grand espoir pour L’Unesco.
Un jeune homme de là bas, que nous avons revu depuis, nous disait que, maintenant, il se sentait très
heureux dans sa vie. Sa mère était aveugle. Son père vit avec un autre handicap et moi malgré mon
handicap , j’ai fait des études pour être Masseur. Je vais m’installer dans un village (ce qui est fréquent en
chine) et je peux aujourd’hui subvenir aux besoins de mes parents »….
Fin de l’intervention sur applaudissements du public
-
muriel michelin
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- Enregistré le : 12 avr. 2010 16:56
Re: CONGRES NATIONAL DES EVS AVS Orvault 2010
Samedi 24 avril 2010
Congrès UNCEVS - Orvault
Discours de
Monsieur Philippe Van Den Herreweghe
Délégué chargé de l’emploi
et de l’intégration des personnes handicapées
Merci de me passer la parole,
« Nous avons eu deux interventions vraiment très intéressantes.
La première, celle de Monsieur L’inspecteur d’Académie, qui était une intervention d’une grande
précision, et que j’ai trouvé rassurante parce que n’est un modèle restant une modèle non fixe : un
modèle donc progressif. On le voit bien avec les prochaines ouvertures à la rentrée scolaire de CLIS
ou d’UPI qu’il n’y a pas de rigidité. C’est un peu le mot employé par Kenneth, tout à l’heure : pas de
rigidité dans les systèmes. Il faut beaucoup de souplesse et adapter, je dirais, l’éducation au flux des
enfants qui viennent, qui restent ou qui partent.
L’autre intervention, celle de Kenneth. C’était plus sur l’héritage culturel, sur la culture d’un pays
par rapport à l’éducation et au handicap. Et je dois dire que le modèle français n’est pas un bon
modèle…enfin…n’a pas été un bon modèle jusqu’il y a une dizaine ou quinzaine d’années car c’est
vrai en France, le sens du mot handicap était égal à incapable.
Changement du modèle Français depuis 2003.
La prise de parole des personnes handicapées
« Ce qui a changé peut être au cours des années 2003, c’est lorsque des personnes handicapées ont
pris la parole et qu’il a été arrêté de parler pour elles. Les personnes handicapées ont dit ce
qu’elles voulaient, ce qu’elles attendaient, de la société. Certains enfants ou adultes handicapés ont
demandé à leur parent de ne plus parler pour eux mais qu’eux avaient quelque chose à dire ».
« Voir » le handicap
« Cela, je crois, a été un changement. C’est encore le cas aujourd’hui. Moi, ce que je dis depuis une
dizaine d’années aux parents ou aux personnes handicapées, c’est : montrez- vous, sortez vos
enfants car une société ne peut pas reconnaître le handicap si elle ne le voit pas. »
Le regard des générations sur le Handicap
Non cohabitation avec le handicap
« On ne peut pas se plaindre aujourd’hui d’une mauvaise inclusion ou intégration. Je dirais
que notre génération, ma génération, est encore victime de la non cohabitation entre les
personnes valides et les personnes handicapées.
Lorsque je rencontre encore des personnes de ma génération, c'est-à-dire autour de la
soixantaine, ayant un regard sur le handicap… comment dire ?... un petit peu étonnée, j’ai
beaucoup d’indulgence parce que nous ne pouvons pas non plus « vivre » avec la différence
lorsque nous ne leur avons pas appris ce que c’était, étant jeunes ».
Porter malheur ou attirer la pitié
« Ce que vous disiez tout à l’heure, et qui est important, Kenneth : lorsque vous regardiez
une chaise roulante, vos parents vous prenaient la tête en disant « tourne ta tête, ne regarde
pas ça ». Ils n’osaient pas vous dire que cela pouvaient porter malheur. A l’époque c’était un
peu cela. Ou ils n’osaient pas vous dire non plus « regarde pas, cela, c’est de la pitié, ce
n’est pas un modèle, et encore moins un modèle de vie que de regarder une personne
handicapée ».
De mon expérience vécue
Moi, quand j’étais beaucoup plus jeune mais avant que je sois tombé malade à 19 ans, je me
souviens : mes parents avaient des amis ayant des enfants handicapés. Et bien, c’était des
enfants que je ne voyais pas. C’était des enfants qui ne sortaient pas. On ne les montrait pas.
Alors aujourd’hui, c’est un peu le message que je portais à l’instant, mais je crois qu’il ya nécessité
de porter ce message : il faut se montrer, et il faut sortir ces enfants. C’est une chose très
importante. »
« Vaincre » les préjugés
« Les préjugés sont des choses déterminantes. C’est qui semble être le plus difficile. Ce sont les
préjugés qu’on peut avoir sur : quel peut être le projet d’une personne handicapée ? Quelle peut
être la réussite d’un élève handicapé qu’il soit trisomique, autiste, aveugle, sourd, moteur, psychique
ou mental ? Il y a encore énormément de préjugés et ils sont très forts. Il faut donc les casser parce
qu’ils peuvent avoir des conséquences dramatiques dans le cadre de l’orientation »
On le voit bien même à l’école aujourd’hui. Il y a parfois dans certaine situation, des raisonnements
qui vont faire qu’on dira dire, qu’un enfant par exemple trisomique devra à tel âge être orienter vers
un établissement spécialisé. Alors j’ai envi de dire … c’est un gros mot …mais, c’est complètement
« crétin ». Car, cela fait partie des préjugés de dire : le handicap, ce type de handicap aura cette
orientation là ».
L’application de la loi 2005 sur le handicap dans l’Education Nationale
Du quantitatif….
« Je crois que l’Education Nationale aujourd’hui fait de gros efforts. Je pense que la Loi de 2005 sur
le Handicap…la grande réussite de cette loi en France (je le pense très sincèrement), c’est
l’éducation. Une explication ? Je vais vous donner un chiffre très simple. En 2003, il y a eu 89 000
enfants handicapés. En 2009 182 000 élèves handicapés sont scolarisés en milieu ordinaire. C’est la
réussite de cette loi : l’intégration scolaire des enfants handicapés »
…Au qualificatif.
« Maintenant, il est fait du quantitatif et pas suffisamment de qualitatif. Quand je parlais justement
d’orientation, quand on va sur le raisonnement de dire : « handicap, va là bas », il faut arrêter cela.
Faire du qualitatif, c’est se rapprocher de l’élève sur un projet individuel avec une capacité réelle
lui étant propre.
Améliorer le qualificatif
« Je crois que l’Education Nationale, aujourd’hui, a pour objectif d’améliorer le qualitatif
pour l’orientation et l’éducation des élèves.
Pourquoi dis-je cela ? Pour l’Education Nationale en France la loi du 11 Février 2005 a été
une révolution. Une loi précédente le disait bien aussi mais elle n’était pas appliquée. La loi
du 11 Février 205 disait une chose très simple : « tout enfant est un élève ». Alors qu’est-cequi
s’est passé ? Et bien… tous les parents d’enfants handicapés sont arrivés avec leur enfant
dans les bras à l’école en exprimant : « Tenez », « Prenez », « Élevez le » « Éduquez le ».
L’Education Nationale a répliqué : mais attendez là, je ne suis pas organisé pour le faire.
Elle s’est adaptée, organisée pour accueillir ces enfants parce que la Loi était intransigeante.
C’était une obligation pour l’école d’accueillir tous les élèves
Adapter un modèle qualificatif dans l’Education nationale
Dès lors, quel type de modèle décide-t-on appliquer ?
Le modèle français est un modèle mixte. Kenneth parlait tout à l’heure d’école pour tel ou
tel handicap et des écoles régulières.
Le modèle français est un peu différent. Il est dit : dans les écoles ordinaires seront mis en
place des CLIS et des UPI installées dans les mêmes lieux. C’est à dire que les enfants
handicapés vivraient avec les enfants non handicapés. Il y aura pour ces enfants n’ayant
jamais rencontré de handicapés, un côtoiement, un vivre ensemble devenant très important.
Mais il ne faut pas oublier les établissements spécialisés : les ITEP ou IME. A ce sujet, je
dirais que la loi a été très claire. Celle de 2009 ou un décret que appelé Unité
d’Enseignement a été voté pour permettre aux enfants ou élèves des établissements
spécialisés d’aller à l’école ordinaire sur des matières pour lesquels ils disposent des
capacités.
Donc, ils n’existent donc pas d’enfermement de l’élève dans un IME ou ITEP. Il existe une
possibilité de collaboration entre l’enseignant spécialisé et l’enseignement scolaire
ordinaire.
Voila ce que je voulais dire lorsque vous évoquiez l’école pour tous. A l’Education Nationale nous
avons un site internet qui s’appelle : « l’Ecole pour tous ». Ce site permet d’avoir la possibilité de
connaître ses droits, d’être orienter ou de progresser à l’école.
C’est tout ce que j’avais à vous dire »
Merci
Congrès UNCEVS - Orvault
Discours de
Monsieur Philippe Van Den Herreweghe
Délégué chargé de l’emploi
et de l’intégration des personnes handicapées
Merci de me passer la parole,
« Nous avons eu deux interventions vraiment très intéressantes.
La première, celle de Monsieur L’inspecteur d’Académie, qui était une intervention d’une grande
précision, et que j’ai trouvé rassurante parce que n’est un modèle restant une modèle non fixe : un
modèle donc progressif. On le voit bien avec les prochaines ouvertures à la rentrée scolaire de CLIS
ou d’UPI qu’il n’y a pas de rigidité. C’est un peu le mot employé par Kenneth, tout à l’heure : pas de
rigidité dans les systèmes. Il faut beaucoup de souplesse et adapter, je dirais, l’éducation au flux des
enfants qui viennent, qui restent ou qui partent.
L’autre intervention, celle de Kenneth. C’était plus sur l’héritage culturel, sur la culture d’un pays
par rapport à l’éducation et au handicap. Et je dois dire que le modèle français n’est pas un bon
modèle…enfin…n’a pas été un bon modèle jusqu’il y a une dizaine ou quinzaine d’années car c’est
vrai en France, le sens du mot handicap était égal à incapable.
Changement du modèle Français depuis 2003.
La prise de parole des personnes handicapées
« Ce qui a changé peut être au cours des années 2003, c’est lorsque des personnes handicapées ont
pris la parole et qu’il a été arrêté de parler pour elles. Les personnes handicapées ont dit ce
qu’elles voulaient, ce qu’elles attendaient, de la société. Certains enfants ou adultes handicapés ont
demandé à leur parent de ne plus parler pour eux mais qu’eux avaient quelque chose à dire ».
« Voir » le handicap
« Cela, je crois, a été un changement. C’est encore le cas aujourd’hui. Moi, ce que je dis depuis une
dizaine d’années aux parents ou aux personnes handicapées, c’est : montrez- vous, sortez vos
enfants car une société ne peut pas reconnaître le handicap si elle ne le voit pas. »
Le regard des générations sur le Handicap
Non cohabitation avec le handicap
« On ne peut pas se plaindre aujourd’hui d’une mauvaise inclusion ou intégration. Je dirais
que notre génération, ma génération, est encore victime de la non cohabitation entre les
personnes valides et les personnes handicapées.
Lorsque je rencontre encore des personnes de ma génération, c'est-à-dire autour de la
soixantaine, ayant un regard sur le handicap… comment dire ?... un petit peu étonnée, j’ai
beaucoup d’indulgence parce que nous ne pouvons pas non plus « vivre » avec la différence
lorsque nous ne leur avons pas appris ce que c’était, étant jeunes ».
Porter malheur ou attirer la pitié
« Ce que vous disiez tout à l’heure, et qui est important, Kenneth : lorsque vous regardiez
une chaise roulante, vos parents vous prenaient la tête en disant « tourne ta tête, ne regarde
pas ça ». Ils n’osaient pas vous dire que cela pouvaient porter malheur. A l’époque c’était un
peu cela. Ou ils n’osaient pas vous dire non plus « regarde pas, cela, c’est de la pitié, ce
n’est pas un modèle, et encore moins un modèle de vie que de regarder une personne
handicapée ».
De mon expérience vécue
Moi, quand j’étais beaucoup plus jeune mais avant que je sois tombé malade à 19 ans, je me
souviens : mes parents avaient des amis ayant des enfants handicapés. Et bien, c’était des
enfants que je ne voyais pas. C’était des enfants qui ne sortaient pas. On ne les montrait pas.
Alors aujourd’hui, c’est un peu le message que je portais à l’instant, mais je crois qu’il ya nécessité
de porter ce message : il faut se montrer, et il faut sortir ces enfants. C’est une chose très
importante. »
« Vaincre » les préjugés
« Les préjugés sont des choses déterminantes. C’est qui semble être le plus difficile. Ce sont les
préjugés qu’on peut avoir sur : quel peut être le projet d’une personne handicapée ? Quelle peut
être la réussite d’un élève handicapé qu’il soit trisomique, autiste, aveugle, sourd, moteur, psychique
ou mental ? Il y a encore énormément de préjugés et ils sont très forts. Il faut donc les casser parce
qu’ils peuvent avoir des conséquences dramatiques dans le cadre de l’orientation »
On le voit bien même à l’école aujourd’hui. Il y a parfois dans certaine situation, des raisonnements
qui vont faire qu’on dira dire, qu’un enfant par exemple trisomique devra à tel âge être orienter vers
un établissement spécialisé. Alors j’ai envi de dire … c’est un gros mot …mais, c’est complètement
« crétin ». Car, cela fait partie des préjugés de dire : le handicap, ce type de handicap aura cette
orientation là ».
L’application de la loi 2005 sur le handicap dans l’Education Nationale
Du quantitatif….
« Je crois que l’Education Nationale aujourd’hui fait de gros efforts. Je pense que la Loi de 2005 sur
le Handicap…la grande réussite de cette loi en France (je le pense très sincèrement), c’est
l’éducation. Une explication ? Je vais vous donner un chiffre très simple. En 2003, il y a eu 89 000
enfants handicapés. En 2009 182 000 élèves handicapés sont scolarisés en milieu ordinaire. C’est la
réussite de cette loi : l’intégration scolaire des enfants handicapés »
…Au qualificatif.
« Maintenant, il est fait du quantitatif et pas suffisamment de qualitatif. Quand je parlais justement
d’orientation, quand on va sur le raisonnement de dire : « handicap, va là bas », il faut arrêter cela.
Faire du qualitatif, c’est se rapprocher de l’élève sur un projet individuel avec une capacité réelle
lui étant propre.
Améliorer le qualificatif
« Je crois que l’Education Nationale, aujourd’hui, a pour objectif d’améliorer le qualitatif
pour l’orientation et l’éducation des élèves.
Pourquoi dis-je cela ? Pour l’Education Nationale en France la loi du 11 Février 2005 a été
une révolution. Une loi précédente le disait bien aussi mais elle n’était pas appliquée. La loi
du 11 Février 205 disait une chose très simple : « tout enfant est un élève ». Alors qu’est-cequi
s’est passé ? Et bien… tous les parents d’enfants handicapés sont arrivés avec leur enfant
dans les bras à l’école en exprimant : « Tenez », « Prenez », « Élevez le » « Éduquez le ».
L’Education Nationale a répliqué : mais attendez là, je ne suis pas organisé pour le faire.
Elle s’est adaptée, organisée pour accueillir ces enfants parce que la Loi était intransigeante.
C’était une obligation pour l’école d’accueillir tous les élèves
Adapter un modèle qualificatif dans l’Education nationale
Dès lors, quel type de modèle décide-t-on appliquer ?
Le modèle français est un modèle mixte. Kenneth parlait tout à l’heure d’école pour tel ou
tel handicap et des écoles régulières.
Le modèle français est un peu différent. Il est dit : dans les écoles ordinaires seront mis en
place des CLIS et des UPI installées dans les mêmes lieux. C’est à dire que les enfants
handicapés vivraient avec les enfants non handicapés. Il y aura pour ces enfants n’ayant
jamais rencontré de handicapés, un côtoiement, un vivre ensemble devenant très important.
Mais il ne faut pas oublier les établissements spécialisés : les ITEP ou IME. A ce sujet, je
dirais que la loi a été très claire. Celle de 2009 ou un décret que appelé Unité
d’Enseignement a été voté pour permettre aux enfants ou élèves des établissements
spécialisés d’aller à l’école ordinaire sur des matières pour lesquels ils disposent des
capacités.
Donc, ils n’existent donc pas d’enfermement de l’élève dans un IME ou ITEP. Il existe une
possibilité de collaboration entre l’enseignant spécialisé et l’enseignement scolaire
ordinaire.
Voila ce que je voulais dire lorsque vous évoquiez l’école pour tous. A l’Education Nationale nous
avons un site internet qui s’appelle : « l’Ecole pour tous ». Ce site permet d’avoir la possibilité de
connaître ses droits, d’être orienter ou de progresser à l’école.
C’est tout ce que j’avais à vous dire »
Merci
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Boogie
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Re: CONGRES NATIONAL DES EVS AVS Orvault 2010
UNCEVS et Agence 22 utilisent la position UNCEVS de représentants du personnel AVS-EVS (représentation par ailleurs largement fictive) pour promouvoir des "solutions" portées à l'encontre de l'ensemble des associations historiques du champ du handicap.
l'Agence 22 utilise également l'agenda 22 (voir ici : http://www.creaibourgogne.org/04/archiv ... 2-09-2.pdf, un résumé de Patrick Guyot) pour promouvoir, de la même manière, leur point de vue, ou comment récupérer la portée puissamment symbolique d'un texte de l'ONU (en s'en habillant méticuleusement) pour se positionner comme les seuls Justes (qui plus est avec
"l'hygiène salutaire d'un esprit sain" confère : viewtopic.php?f=35&t=2756&p=9330#p9320) contre les méchants autres.
La pureté immaculée contre l'infâme puanteur de la corruption. La colombe et le crapaud, en quelque sorte.
Tout se passe comme s'ils étaient les seuls et uniques représentants des principes édictées dans l'agenda 22 (basé je le rappelle sur une résolution de l'ONU votée en 1993 et tirée des travaux d'une association suédoise, la Swedish Cooperative Body of organisation of disabeld people ; leur site ici : http://hso.se/) ; principes par ailleurs, comme le rappelle Patrick Guyot dans le texte référencé plus haut, largement à l'origine de l'esprit de la loi n°2005-102 du 11 février 2005.
De ce point de vue, le "coup marketing" pour l'Agence 22 de s'approprier la référence à ce texte est, d'ans une perspective purement marchande, très bien vu : ses promoteurs se posent en purs et ardents défenseurs de ce qu'il énonce - et en plus, merveille du hasard, ils proposent de prendre à leur compte (ce sont des "entrepreneurs de l'autrement", voir encore une fois ici : http://widget.viadeo.com/fr/profile/yves-louis.boumier) les "nouvelles" solutions qu'ils avancent et dont ils prétendent qu'elles sont les émanations directes de l'agenda 22.
Un beau coup, digne du titulaire d'un DESS en assurance (formation délivrée par AXA !!), tout aussi digne d'un ancien élève du
Centre International de Formation à la Vente et à la Négociation Commerciale ("Bachelor en marketing et affaires internationales".) [informations tirées du profil de Y-L Boumier, fondateur de l'agence 22, référencé plus haut.]
A eux le désintéressement et l'altruisme (en gros le "sens des valeurs de solidarité et de justice social") et aux autres le machiavélisme et l'intérêt mal placé.
Le marketing et son esprit est d'ailleurs la matrice des déclarations publiques de l'UNCEVS (en sus du projet de leur chaperon l'Agence 22), flattant l'émotion et tirant les grosses ficelles d'une rhétorique toute entière tournée vers la valorisation de leur action et le dénigrement de leurs adversaire, sans aucune trace d'analyse ou de réflexivité quant à leur propre position.
Il ne faut pas se laisser berner par les colloques et autres déclarations dithyrambiques : m'est avis que les participants à ces manifestations ne savent pas les liens qui unissent l'UNCEVS et l'Agence 22, et ne perçoivent pas que les premiers servent les seconds pour promouvoir leurs solutions miracles, forcément "entrepreneuriales".
l'Agence 22 utilise également l'agenda 22 (voir ici : http://www.creaibourgogne.org/04/archiv ... 2-09-2.pdf, un résumé de Patrick Guyot) pour promouvoir, de la même manière, leur point de vue, ou comment récupérer la portée puissamment symbolique d'un texte de l'ONU (en s'en habillant méticuleusement) pour se positionner comme les seuls Justes (qui plus est avec
"l'hygiène salutaire d'un esprit sain" confère : viewtopic.php?f=35&t=2756&p=9330#p9320) contre les méchants autres.
La pureté immaculée contre l'infâme puanteur de la corruption. La colombe et le crapaud, en quelque sorte.
Tout se passe comme s'ils étaient les seuls et uniques représentants des principes édictées dans l'agenda 22 (basé je le rappelle sur une résolution de l'ONU votée en 1993 et tirée des travaux d'une association suédoise, la Swedish Cooperative Body of organisation of disabeld people ; leur site ici : http://hso.se/) ; principes par ailleurs, comme le rappelle Patrick Guyot dans le texte référencé plus haut, largement à l'origine de l'esprit de la loi n°2005-102 du 11 février 2005.
De ce point de vue, le "coup marketing" pour l'Agence 22 de s'approprier la référence à ce texte est, d'ans une perspective purement marchande, très bien vu : ses promoteurs se posent en purs et ardents défenseurs de ce qu'il énonce - et en plus, merveille du hasard, ils proposent de prendre à leur compte (ce sont des "entrepreneurs de l'autrement", voir encore une fois ici : http://widget.viadeo.com/fr/profile/yves-louis.boumier) les "nouvelles" solutions qu'ils avancent et dont ils prétendent qu'elles sont les émanations directes de l'agenda 22.
Un beau coup, digne du titulaire d'un DESS en assurance (formation délivrée par AXA !!), tout aussi digne d'un ancien élève du
Centre International de Formation à la Vente et à la Négociation Commerciale ("Bachelor en marketing et affaires internationales".) [informations tirées du profil de Y-L Boumier, fondateur de l'agence 22, référencé plus haut.]
A eux le désintéressement et l'altruisme (en gros le "sens des valeurs de solidarité et de justice social") et aux autres le machiavélisme et l'intérêt mal placé.
Le marketing et son esprit est d'ailleurs la matrice des déclarations publiques de l'UNCEVS (en sus du projet de leur chaperon l'Agence 22), flattant l'émotion et tirant les grosses ficelles d'une rhétorique toute entière tournée vers la valorisation de leur action et le dénigrement de leurs adversaire, sans aucune trace d'analyse ou de réflexivité quant à leur propre position.
Il ne faut pas se laisser berner par les colloques et autres déclarations dithyrambiques : m'est avis que les participants à ces manifestations ne savent pas les liens qui unissent l'UNCEVS et l'Agence 22, et ne perçoivent pas que les premiers servent les seconds pour promouvoir leurs solutions miracles, forcément "entrepreneuriales".
"Je préfère me débarrasser des faux enchantements pour pouvoir m'émerveiller des vrais miracles." (PB)
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Re: CONGRES NATIONAL DES EVS AVS Orvault 2010
ACTE 1 - 5 DECEMBRE 2008
Lancement la pétition UNCEVS .
ACTE 2 -10 JANVIER 2009 , l’Union décide de faire un dossier accompagné de la pétition et de les envoyer au Parlement Européen
ACTE 3 - Le 13 MARS 2009, le package est réceptionné au Parlement et transmis à la Commission des pétitions, pour qu’elle se prononce sur sa recevabilité, et si la pétition rentre bien dans le cadre des activités de l’UE.
ACTE 4 - Le 09 NOVEMBRE 2009
La commission des pétitions à jugée recevable la pétition de l’UNCEVS sur les questions soulevées et les points défendus (reconnaissance des personnels evs/avs , professionnalisation , discrimination envers les personnels) et, que son objet relève bien des domaines d’activité de l’UE
Elle est soumise à la Commission compétente en la matière , la commission de l’emploi et des affaires sociales pour avis .
ACTE 5 – Le 16 AVRIL 2010
La commission des pétitions a poursuivi l’examen de notre pétition en tenant compte de l’avis fourni de la commission de l’emploi et des affaires sociales .
Cette dernière va tenir compte des emplois précaires auxquels nous avons fait allusion lorsqu’elle rédigera son rapport d’initiative sur les « contrats atypiques, sécurisation des parcours professionnels, flexicurité et nouvelles forme de dialogue social, ainsi que dans la nouvelle directive sur l’égalité de traitement.
La commission des pétitions est chargée de recevoir les plaintes des citoyens, d'enquêter et de rendre compte de la manière dont la législation européenne est appliquée dans les États membres. Tout citoyen européen - ou résident au sein de l'Union européenne - dispose du droit de porter une pétition à l'attention du Parlement européen. Les entreprises peuvent exercer ce droit de pétition, si elles ont leur siège dans l’Union. Près de quatre pétitions par jour sont soumises à cette commission et les sujets vont de l'environnement à la défense des droits fondamentaux en passant par la santé ou l'urbanisation.
'Le droit de pétition porté directement à l'attention du Parlement européen ouvre la porte de l'Union européenne à des milliers de citoyens et rapproche l'Union des problématiques locales. Cette proximité établit un lien direct entre les citoyens et l'Union Européenne et donne ainsi une âme au droit communautaire
Les points défendus par l’Uncevs et retenus par la commission de l’Emploi et des affaires sociales du parlement Européen dans le rapport « sur les contrats atypiques, les parcours professionnels sécurisés, la flexicurité et les nouvelles formes de dialogue social. »
• S’agissant du contrat aidé ou non, une priorité doit être accordée à une réforme du droit du travail ayant pour objet : Une extension de la protection des travailleurs, une clarification de la situation du travailleur salarié, une facilitation des transitions entre situation d’emploi et de chômage
• Les formes de contrats précaires aidés ou non doivent aller de pair avec une offre d’aide individuelle de formation aux travailleurs pour développer une meilleure employabilité.
• L’accent est mis sur la nécessité de créer des emplois de qualité et de garantir la cohésion sociale : en effet, il est estimé que les efforts demandés à la population seront d’autant mieux acceptés qu’ils seront perçus comme équitables et comme facilitant une insertion professionnelle et une intégration sociale.
• Il est estimé que les contrats de travail à durée illimitée devraient rester la forme principale des relations de travail.
• Il est condamné le remplacement abusif des emplois réguliers par des contrats précaires aidés ou non. Ces contrats précaires aidés ou non portent gravement atteinte au modèle social Européen.
• Les contrats précaires aidés ou non devraient être assortie d’un socle de droit, recouvrant : l’égalité de traitement en matière d’emploi, la protection de la santé et de la sécurité des travailleurs, les dispositions relatives aux temps de travail et de repos, la liberté d’association et de représentation, le droit à la négociation collective et à l’action collective ainsi que l’accès à la formation.
• Il est invité aux partenaires sociaux nationaux à surmonter les réserves à l’égard des « exclus » (salariés précaires en contrat aidé ou non) et à trouver un équilibre entre les droits et les exigences en matière de protection sociale de ces salariés et ceux des travailleurs « en place ».
• Il est estimé que la reconnaissance formelle du parlement Européen du rôle de l’Uncevs au titre de partenaire social nationale constitue une avancée car il s’agit là d’une reconnaissance de son autonomie et d’une réaffirmation de l’importance de son soutien dans la promotion du dialogue social.
• Il est estimé que la contribution de l’Uncevs à la stratégie Union Européenne 2020 revêt une importance particulière pour la réalisation des objectifs en matière d’emploi
et une petite bafouille pour les lecteurs , en anglais qui est la langue de l'UE à Bruxelles
Subjects : EMPL, Coordinators' decisions on petitions of 26 November 2009
Dear David, (Head of the Secretariat of the Committee on Petitions
I wish to inform you that, at their meeting of 26 Novembre 2009, the Coordinators of the Committee on Employment and Social Affairs have adopted the folowing decisions concerning petitions sent tot the EMPL. Committee by the PETI Committee :
- Pétition 0737/2009 , by Muriel Michelin, (French), on behalf of the Union nationale des collectifs des employés de vie scolaire et d'auxilaire de vie scolaire (UNCEVS), on the precarious employment situation of educational staff providing support for handicapped pupils.
Decission : inform PETI that EMPL will taxke the matter of "précarious employment" raised by Pétition into account when drafting its INI report on "atypical contrats, secured professionnel paths and new forms of social dialogue" and in this legislative work on the new Directive on equal treatment.
Yours sincerely
Panos Konstantopoulos
Notre démarche ne s'arrête pas là. Le dossier est parti encore plus haut, toujours plus haut !
Je vous souhaite bonne lecture
Muriel
Lancement la pétition UNCEVS .
ACTE 2 -10 JANVIER 2009 , l’Union décide de faire un dossier accompagné de la pétition et de les envoyer au Parlement Européen
ACTE 3 - Le 13 MARS 2009, le package est réceptionné au Parlement et transmis à la Commission des pétitions, pour qu’elle se prononce sur sa recevabilité, et si la pétition rentre bien dans le cadre des activités de l’UE.
ACTE 4 - Le 09 NOVEMBRE 2009
La commission des pétitions à jugée recevable la pétition de l’UNCEVS sur les questions soulevées et les points défendus (reconnaissance des personnels evs/avs , professionnalisation , discrimination envers les personnels) et, que son objet relève bien des domaines d’activité de l’UE
Elle est soumise à la Commission compétente en la matière , la commission de l’emploi et des affaires sociales pour avis .
ACTE 5 – Le 16 AVRIL 2010
La commission des pétitions a poursuivi l’examen de notre pétition en tenant compte de l’avis fourni de la commission de l’emploi et des affaires sociales .
Cette dernière va tenir compte des emplois précaires auxquels nous avons fait allusion lorsqu’elle rédigera son rapport d’initiative sur les « contrats atypiques, sécurisation des parcours professionnels, flexicurité et nouvelles forme de dialogue social, ainsi que dans la nouvelle directive sur l’égalité de traitement.
La commission des pétitions est chargée de recevoir les plaintes des citoyens, d'enquêter et de rendre compte de la manière dont la législation européenne est appliquée dans les États membres. Tout citoyen européen - ou résident au sein de l'Union européenne - dispose du droit de porter une pétition à l'attention du Parlement européen. Les entreprises peuvent exercer ce droit de pétition, si elles ont leur siège dans l’Union. Près de quatre pétitions par jour sont soumises à cette commission et les sujets vont de l'environnement à la défense des droits fondamentaux en passant par la santé ou l'urbanisation.
'Le droit de pétition porté directement à l'attention du Parlement européen ouvre la porte de l'Union européenne à des milliers de citoyens et rapproche l'Union des problématiques locales. Cette proximité établit un lien direct entre les citoyens et l'Union Européenne et donne ainsi une âme au droit communautaire
Les points défendus par l’Uncevs et retenus par la commission de l’Emploi et des affaires sociales du parlement Européen dans le rapport « sur les contrats atypiques, les parcours professionnels sécurisés, la flexicurité et les nouvelles formes de dialogue social. »
• S’agissant du contrat aidé ou non, une priorité doit être accordée à une réforme du droit du travail ayant pour objet : Une extension de la protection des travailleurs, une clarification de la situation du travailleur salarié, une facilitation des transitions entre situation d’emploi et de chômage
• Les formes de contrats précaires aidés ou non doivent aller de pair avec une offre d’aide individuelle de formation aux travailleurs pour développer une meilleure employabilité.
• L’accent est mis sur la nécessité de créer des emplois de qualité et de garantir la cohésion sociale : en effet, il est estimé que les efforts demandés à la population seront d’autant mieux acceptés qu’ils seront perçus comme équitables et comme facilitant une insertion professionnelle et une intégration sociale.
• Il est estimé que les contrats de travail à durée illimitée devraient rester la forme principale des relations de travail.
• Il est condamné le remplacement abusif des emplois réguliers par des contrats précaires aidés ou non. Ces contrats précaires aidés ou non portent gravement atteinte au modèle social Européen.
• Les contrats précaires aidés ou non devraient être assortie d’un socle de droit, recouvrant : l’égalité de traitement en matière d’emploi, la protection de la santé et de la sécurité des travailleurs, les dispositions relatives aux temps de travail et de repos, la liberté d’association et de représentation, le droit à la négociation collective et à l’action collective ainsi que l’accès à la formation.
• Il est invité aux partenaires sociaux nationaux à surmonter les réserves à l’égard des « exclus » (salariés précaires en contrat aidé ou non) et à trouver un équilibre entre les droits et les exigences en matière de protection sociale de ces salariés et ceux des travailleurs « en place ».
• Il est estimé que la reconnaissance formelle du parlement Européen du rôle de l’Uncevs au titre de partenaire social nationale constitue une avancée car il s’agit là d’une reconnaissance de son autonomie et d’une réaffirmation de l’importance de son soutien dans la promotion du dialogue social.
• Il est estimé que la contribution de l’Uncevs à la stratégie Union Européenne 2020 revêt une importance particulière pour la réalisation des objectifs en matière d’emploi
et une petite bafouille pour les lecteurs , en anglais qui est la langue de l'UE à Bruxelles
Subjects : EMPL, Coordinators' decisions on petitions of 26 November 2009
Dear David, (Head of the Secretariat of the Committee on Petitions
I wish to inform you that, at their meeting of 26 Novembre 2009, the Coordinators of the Committee on Employment and Social Affairs have adopted the folowing decisions concerning petitions sent tot the EMPL. Committee by the PETI Committee :
- Pétition 0737/2009 , by Muriel Michelin, (French), on behalf of the Union nationale des collectifs des employés de vie scolaire et d'auxilaire de vie scolaire (UNCEVS), on the precarious employment situation of educational staff providing support for handicapped pupils.
Decission : inform PETI that EMPL will taxke the matter of "précarious employment" raised by Pétition into account when drafting its INI report on "atypical contrats, secured professionnel paths and new forms of social dialogue" and in this legislative work on the new Directive on equal treatment.
Yours sincerely
Panos Konstantopoulos
Notre démarche ne s'arrête pas là. Le dossier est parti encore plus haut, toujours plus haut !
Je vous souhaite bonne lecture
Muriel
Re: Congrès National des EVS AVS Orvault 2010
Magnifique,
j'avoue quand même n'avoir pas lu en entier, c'est un peu longuet.
Si vous mettiez les passages importants en gras, cela faciliterait la lecture. (=petite suggestion qui pourrait "accrocher" davantage le lecteur)
Merci
C'est quoi plus haut ?
j'avoue quand même n'avoir pas lu en entier, c'est un peu longuet.
Si vous mettiez les passages importants en gras, cela faciliterait la lecture. (=petite suggestion qui pourrait "accrocher" davantage le lecteur)
Merci
C'est quoi plus haut ?
-
muriel michelin
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- Enregistré le : 12 avr. 2010 16:56
Re: Congrès National des EVS AVS Orvault 2010
Merci pour les conseils, et je vous l'accorde c'est un peu long .....
Plus haut, ça veut dire que les démarches prendront une autre tournure, beaucoup plus construites.
Défendre ses droits demande un travail phénoménal. Et nous sommes dans le droit !
Merci d'avoir pris du temps pour parcourir en diagonale mes textes
A bientôt
Muriel
Plus haut, ça veut dire que les démarches prendront une autre tournure, beaucoup plus construites.
Défendre ses droits demande un travail phénoménal. Et nous sommes dans le droit !
Merci d'avoir pris du temps pour parcourir en diagonale mes textes
A bientôt
Muriel
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muriel michelin
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Re: Congrès National des EVS AVS Orvault 2010
bonjour,
Dans le cadre de la rédaction d'un livre (parution fin d'année en principe !) concernant la génération des contrats aidés 2006/2009 sur le recrutement des premiers EVS, portant le titre " Les Employés de Vie Scolaire ou tout le mal que l'on nous a fait" je cherche à savoir le nombre d'enseignants spécialisés en France ?
Quelqu'un peut il m'aider ?
Bon dimanche
Muriel
Dans le cadre de la rédaction d'un livre (parution fin d'année en principe !) concernant la génération des contrats aidés 2006/2009 sur le recrutement des premiers EVS, portant le titre " Les Employés de Vie Scolaire ou tout le mal que l'on nous a fait" je cherche à savoir le nombre d'enseignants spécialisés en France ?
Quelqu'un peut il m'aider ?
Bon dimanche
Muriel