Questions pratiques sur la formation de psychologue scolaire

Invité

Questions pratiques sur la formation de psychologue scolaire

Message par Invité »

Bonjour !

J'ai des questions très pratiques à poser sur la formation. En effet, j'ai envie de me présenter à la formation mais comme j'ai deux enfants, il faut que je sache à l'avance comment m'organiser.
Je vais me présenter pour l'IUFM de Paris. J'aimerais savoir où ont lieu les cours ? A Boulogne, dans le 16ème ou rue des Saints-Pères ?
Quelle est la répartition du planning sur l'année ?
Est-ce qu'on a tous les cours d'un coup puis une période de stage ? Ou est-ce que sur une semaine on alterne deux jours de cours/3 jours de stages (au hasard) ?
Travaille-t-on le mercredi, le samedi, les deux ?
Quels sont les horaires ?

Je vous remercie d'avance pour les réponses. Je ne sais pas où me renseigner et attendre la réunion de rentrée pour connaître tous ces "détails" risque d'être un peu juste pour mon organisation.
clairea
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Message par clairea »

Bonjour :)

Je vais essayer de répondre à vos questions en réactualisant mes souvenirs avec les informations données par ma stagiaire DEPS cette année.

Les cours ont tous lieu à l'Université Paris V (métro 9 je crois) à Boulogne.

Concrètement vous devez disposer d'une licence de psychologie et de trois années d'expérience en tant qu'enseignant. Ensuite pour accéder à cette formation, après acceptation de votre IEN , vous passerez un entretien avec des psychologues universitaires qui valideront ou non votre demande.

L'année débute doucement plutôt en octobre je crois, après 3 semaines de stage avec un psychologue scolaire. (vous n 'aurez pas la totalité des vacances de Toussaint). Il s'agit essentiellement d'un temps d'observation et de prise de contact avec la spécificité de cette fonction.
Ensuite, les étudiants ont cours toute la semaine (mercredi compris) à l'Université jusqu'au jeudi. Certains cours sont communs avec les DESS de l'enfant et de l'adol.
Tous les vendredis, vous retournerez sur votre lieu de stage pour suivre et participer au travail du psy.
Vous aurez une formation technique et clinique sur l'examen psychologique (les différents tests et les éléments d'analyse) ainsi que plusieurs cours sur les aspects psychodynamiques du développement de l'enfant et du versant pathologique (adulte et enfant).
D'autres thématiques sont également abordées comme l'ergonomie, la psychologie interculturelle, l'aspect institutionnel...
Dans mes souvenirs, vous ne travaillerez pas le samedi :) mais vous aurez fort à faire entre les cours et le mémoire...
Les horaires sont variables en fonction de vos choix pour les TD et TP.

Votre charge de travail personnel sera importante puisque le niveau des cours correspond à un DESS et vous devez rendre un mémoire important, un rapport de stage, et deux comptes rendu d'examen psychologique.

Une épreuve sur table valide plusieurs enseignement en juin.
Il y a une passation intermédiaire, en Février je crois, d'analyse d'un bilan psy sur table.

Le mémoire est une étape importante de l'évaluation ainsi que l'avis de votre maître de stage.

Enfin, je peux témoigner ici que cette année était épuisante, surtout en raison du temps de transport (si vous habitez loin de Boulogne tenez compte de ce facteur) mais passionnante. L'approche de Paris V reste clinique et les contenus théoriques sont de très bonne qualité.
Le choix du lieu de votre stage est également important.

En espérant avoir répondu à vos questions, je vous souhaite bonne chance dans la finalisation de votre projet.


PS : cette formation n'a rien à voir avec l'IUFM, elle est universitaire.
marley
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Message par marley »

Merci de votre réponse.
Le travail personnel ne me fait pas peur et, à vrai dire, je suis rentrée à l'éducation nationale avec ma licence dans l'optique d'être psychologue scolaire. Par contre, j'avais effectivement peur d'apprendre que cette formation a lieu à Boulogne (je dois bien mettre 1h et quart pour m'y rendre) et cela me fait tout de même réfléchir.
Mais la formation a l'air tout à fait intéressante.
En tout cas, je vous remercie de votre réponse rapide.
Cordialement.
Daniel Calin
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Message par Daniel Calin »

clairea a écrit :cette formation n'a rien à voir avec l'IUFM, elle est universitaire.
En fait si, elle a à voir avec l'IUFM. Voir ce texte :
http://dcalin.fr/textoff/psychologues_2006.html

Ceci dit, cette inscription de la formation dans le cadre des IUFM est purement formelle : aucun cours n'est donné à l'IUFM, et même l'inscription se fait à une adresse universitaire... Ce formalisme n'est cependant pas sans signification : il "symbolise" le maintien des psychologues scolaires dans le corps enseignant. Ce qui, dans l'ambiance politique actuelle, est certainement une garantie !
Cordialement,
Daniel Calin
clairea
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Message par clairea »

En effet, la précision était sans doute nécéssaire.

Je voulais évidement parler du contenu du lieu et des intervenants de cette formation pour répondre à la question pratique.

C'est un retour sur les strapontins universitaires, c'est assez agréable. :)

La question du statut des psychologues scolaires trouve sa réponse dans les textes, à chacun de se souvenir de son parcours et de son expérience d'enseignant.

Néanmoins, je vis et pense ma fonction de psychologue d'une façon singulièrement différente du positionnement enseignant. Je dirai même que franchir l'étape de devenir psychologue ne peut se faire qu'en rupture avec la démarche de tout pédagogue.

Les quatres registres de discours théorisés par J. LACAN en sont une remarquable illustration. (je développe si besoin)

Passer du statut d'enseignant à celui de psychologue demande un réaménagement certain de la façon de penser l'apprentissage.

Enfin, le titre de psychologue scolaire donne le titre de psychologue à part entière et peut donc être utilisé en dehors de l'institution.


L'ambiance actuelle en effet appelle à beaucoup de prudence dans le choix des termes et des statuts, les derniers textes ayant par exemple introduit la distinction enseignants spécilialisés et psychologues scolaires là où était avant évoqué les membres des RASED. Je regrette cette distinction et craint surtout la logique souterraine de ce genre de "détails" techniques.

Je témoigne ici d'une réelle réflexion en cours de mes collègues autour de ces questions mais ne peux encore vous en donner les grands axes.
vaiana

la formation psychologue scolaire

Message par vaiana »

Bonjour !
J'ai entendu dire que l'on pouvait accéder au métier de psychologue scolaire par le biais d'un DESS en psychologie. Vrai ou faux ?
Daniel Calin
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Message par Daniel Calin »

Faux, pour l'essentiel.

Voir le Décret n° 89-684 du 18 septembre 1989 qui définit le diplôme d'État de psychologie scolaire, seul diplôme qui permet une titularisation comme psychologue scolaire, par la voie "normale" tout du moins.

La formation à ce diplôme, comme la candidature à ce diplôme, ne sont ouvertes qu'aux enseignants titulaires du premier degré, ayant au moins trois ans d'exercice et possédant une licence de psychologie (article 3) : un DESS n'est donc pas requis. Il constitue cependant un plus dans les procédures de sélection des candidats.

Toutefois, pour les enseignants titulaires ayant au moins trois années de service et l'un des diplômes universitaires de haut niveau en psychologie, une affectation sur un emploi de psychologue scolaire est autorisée par la Note de service n° 2002-257 du 20 novembre 2002. Cette affectation est possible à titre définitif par une procédure dérogatoire, mais de façon très aléatoire.

En l'état actuel de la réglementation, l'accès aux fonctions de psychologue scolaire n'est possible en aucun cas pour des non-enseignants, quels que soient leurs diplômes universitaires en psychologie.
Cordialement,
Daniel Calin
Invité

Message par Invité »

Je rajouterai juste que le fait d'avoir partagé l'expérience de l'enseignement est un des outils du psychologue scolaire.
Ces quelques années de gestion de la classe, de rencontre avec les élèves apprenants et les non apprenants, avoir pu mesurer les limites du pédagogique et ses atouts, avoir goûté à l'ambiance corporatrice des milieux enseignants, sont autant de vécu qui aide à penser celui des enseignants et enfants que l'on rencontre.

Pour aller un peu vite vers la provocation, je dirai qu'à mon sens, pour être psychologue, il faut oser se rencontrer au travers d'une expérience clinique (thérapeuthique ou analytique) et pour être psychologue scolaire il faut aussi avoir gardé le souvenir d'un temps et d'un vécu d'enseignant (pas forcément un bon enseignant d'ailleurs ;) .

A chacun ensuite de gérer ses projections et contre-transfert ;)
icefresh

statut des psychologues ds l'EN

Message par icefresh »

Quel dommage de penser que pour exercer en tant que psychologue dans l'EN il faut passer par l'étape "enseignant"... En est-il de même pour exercer dans les prisons : faut-il passer par l'étape "surveillants" ?
Il me semble que ce métier s'honorerait de s'ouvrir à des étudiants ayant terminé leur master et que l'obligation d'avoir été instit pour devenir psy (sous prétexte qu'il y aurait une meilleure compréhension du système) est fallacieuse. Elle permet de maintenir dans un statut équivoque des professionnels qui précisément ont besoin d'être identifiés clairement tant par d'autres professionnels (autres personnels du champ de la santé par exemple, enseignants...) que par les familles qui pourraient directement faire appel à ce professionnel.
Par ailleurs, il faut se réjouir que, petit à petit, l'identité du psychologue à l'école puisse, dans quelques textes officiels, être enfin appréciée : par exemple la distinction entre psychologue et membres des réseaux d'aide (là encore il y aurait bien des choses à éclaircir concernant ce dispositif peu convaincant en matière d'aides).
claude

Les membres des réseaux

Message par claude »

Grand merci à toi de donner aussi clairement ton opinion sur le travail des membres de réseau, quel courage !!! Et quels arguments ! On voit tout de suite que tu seras une psychologue scolaire "passionnée" !!
patrick
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psychologue pasteurisé

Message par patrick »

Je ne trouve pas que l'opinion de icefresh soit claire !
Si vous voulez être claire il faudrait alors peut être dire que la psychologie scolaire n'existe pas, qu'un seul statut n'est pas équivoque c'est celui de psychologue mastérisé qui reçoit directement des parents.
Encore faudrait-il être plus clair et expliciter si cet adressage sera payant comme dans un cabinet libéral ou si il aura une dépendance financière équivoque à l'EN.

Le passage par la place d'instit n'est pas un prétexte.
Ce qui ne s'apprend pas dans l'université ce n'est pas tant les rouages du mamouth que le travail de la demande d'un enseignant. Il y a là un travail spécifique qui peut bien sûr se traiter par un spécialiste, un professionnel de la profession, mais laissez nous penser qu'un autre chemin est possible, et que ce travail de la demande puisse se faire avec moins de rigidité. Le pari des dispositifs d'aides c'est justement de proposer des structures travaillant sur les concepts de l'entre deux. Je ne dis pas que c'est LA solution mais là au moins c'est clair et cohérent. Bien plus clair que votre position équivoque.
Ce qui ne s'apprend pas sur les bancs de l'université, c'est le contact avec la souffrance de l'élève. Je suis pour ma part non seulement pour un passage par la classe traditionnelle mais aussi pour un passage par l'enseignement spécialisé. Parcours du combattant, défense des particularismes va s'écrier le mastérisé, sortir d'une position médicale classique, sortir de la position "réparatrice" et s'ouvrir à une position de "reconnaissance" répondra le vieux qui résiste à la marchandisation de la difficulté scolaire.

Sur les problèmes d'identité et de reconnaissance.
Ce n'est pas qu'en posant une plaque dans la rue de psychologue mastérisé que l'on devient psychologue. La reconnaissance de son statut particulier par ses partenaires professionnels, si elle ne provient que de son badge, il semble qu'un véritable travail soit difficile.
Oui il faut marquer clairement le statut très particulier des psy et il est nettement différent même par rapport aux autres membres du réseau.
Oui il faut continuer à maintenir la circulaire sur les missions spécifiques des psy.
Oui le psy est à la fois psy scolaire et psy du réseau, aucune équivoque, répondre directement à des demandes institutionnelles, accueillir des personnes directement, et assurer des suivis dans le cadre d'une institution RASED, il n'y a pas de shizophrénie dans ce double positionnement parfois difficile à tenir, on le concède, mais je suppose (je ne suis pas psy) que cela doit être plus stimulant qu'ennuyeux.

Voici la réponse d'un non spécialiste qui pense que vous avez raison de chasser les positions équivoques mais votre solution amène plus de confusion qu'elle permet à chacun de se positionner. Ce positionnement a certes besoin d'une certification mais en faire le seul argument c'est un positionnement très particulier qui s'inscrit dans une conception bien bureaucratique de l'aide.
Laurent
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Re: statut des psychologues ds l'EN

Message par Laurent »

icefresh a écrit :Quel dommage de penser que pour exercer en tant que psychologue dans l'EN il faut passer par l'étape "enseignant"...
Quelle place faite à l'empathie lors des entretiens avec les enseignants ? Quelles solutions trouver ensemble avec un simple Psy qui ne verrait que le côté médical et pas le travail d'enseignement que doit conserver le maître de la classe ?

Qu'en est-il alors de la logique des procédures des enfants, elle ne s'apprend certainement pas dans les ouvrages de la faculté même si l'on dispose d'un "master".... ?

L'expérience d'enseignement obligatoire d'au moins trois années est le minimum nécessaire pour commencer à comprendre certains fonctionnements d'enfants, pour pouvoir proposer des pistes à des collègues en difficulté dans la gestion d'élèves parfois difficiles.
clairea
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Message par clairea »

Un vieux débat donc s'ouvre ici autour de cette formation du psychologue scolaire.
Une réalité certaine, la formation d'un psychologue clinicien ne peut se résumer à un parcours universitaire. Je sais combien ce parcours est par ailleurs difficile et élitiste. De plus, les étudiants sortants ont les plus grandes difficultés à trouver des postes intéressants. Il pourrait alors paraître un peu injuste que les postes de psychologues dans l'éducation nationale ne soit pas ouverts à des titulaires de DESS (ou master) aussi compétents sur le plan théorique qu'un titulaire de DEPS (diplome d'état de psy scolaire).
Mais j'insiste une fois encore, la psychologie clinique n'est pas qu'une affaire de savoirs théoriques. Et je peux témoigner ici que le psychologue scolaire est aussi un psychologue clinicien.
Alors pourquoi ce passage obligé par le concours de Professeur des écoles et pourquoi ces trois années d'expériences d'enseignement.
D'une façon pragmatique, le psychologue scolaire a le statut d'un fonctionnaire et à ce titre il est recruté comme tous les fonctionnaires via un concours dans le cas présent celui de professeur des écoles. Il bénéficie des statuts inhérents à cette fonction. Non ce n'est pas qu'un détail.
Enfin, ces trois années d'expérience sont un des atouts je le répète du psychologue scolaire dans sa compréhension des mécanismes sous-jacents dans l'acte d'enseigner.


Je vous avoue avoir été amusée par la comparaison du milieu carcéral avec le milieu scolaire mais passée cette petite surprise, je crains qu'il n'y ait une confusion derrière cette comparaison.
Je ne connais pas vraiment la position clinique du psychologue en milieu carcéral, thérapeuthe je suppose ? mais celle du psychologue scolaire est bien plus singulière.
Pour la simple raison peut-être que dans la majorité des cas la demande est institutionnelle avant d'être reprise par le sujet. L'école est aussi ce tiers qui vient bousculer la dynamique familiale en interrogeant la place de l'apprenant.
N'en déplaise aux idéalismes pédagogiques, quel autre meilleur moyen peut trouver un enfant pour mobiliser sa famille rapidement que de ne pas apprendre ? On ne pourra jamais enlever cette liberté aux enfants et il y aura toujours des enseignants spécialisés dont des psychologues pour entendre et accompagner interroger ce symptôme.

Bref, mon propos s'éloigne du sujet (ou plutôt du thème le sujet n'étant jamais loin de ma pensée), mais si je comprends les revendications des étudiants sortant des formations universitaires, je persiste à penser que la psychologie scolaire s'enrichit de ses diverses experiences dont celle d'avoir été enseignant.
icefresh

statut

Message par icefresh »

Il paraît donc difficile sur ce type de site d'avoir une position sur un statut clair, lisible, identifiable du psychologue travaillant dans l'EN (statut par ailleurs parfaitement identifiable pour les autres psy travaillant dans la FP) sans que des connotations "médicales" ou autres ne viennent parasiter le débat !! (archaïque débat entre santé et éducatif...)
Les syndicats enseignants ont toujours résisté à ce qu'il y ait des professionnels en dehors du champ de la pédagogie qui puissent légitimement réinterroger ce qui se passe dans l'acte d'enseigner... (transfert et contre transfert)
Quant à la fumeuse histoire des 3 ans passés comme enseignant du primaire pour être psychologue, cela n'apporte guère de connaissances, au fond, sur l'histoire du système, ses acteurs (toujours des élèves d'ailleurs... jamais des enfants... comme si les universités enseignaient la psychologie de l'élève !!) et le travail singulier du psychologue.
claude

toujours élèves jamais enfants!!!!!

Message par claude »

(toujours des élèves d'ailleurs... jamais des enfants... comme si les universités enseignaient la psychologie de l'élève !!)
Et bien voilà ! Les grands mots sont lachés, on peut voir que les malentendus sur la fonction ou les fonctions se situent de part et d'autre !!!!!
Bien sûr que le devenir de l'enfant ne reste pas à la porte de l'école, et il est affligeant de constater le peu de repères, de balises, sans doute manquons-nous de clarté, mais à ce point !
Peut-être faudrait-il que tu prennes le temps de lire les autres rubriques sans doute celles consacrées aux rééducateurs, ou aux IME, les autres aussi d'ailleurs !!
Force est de constater qu'effectivement le "vieux" débat reprend le dessus, mais pas de notre fait, l'époque s'y prête !
Et si le peu de temps qu'il nous reste à nous préoccuper justement du devenir des enfants dans l'école est compté, c'est aussi, sans doute, grâce aux discours de ce type.
Que tu ne fasses pas "confiance" soit, mais que proposes-tu ?
Comment, selon toi, ta "différence", cette "fraîcheur" que tu apporterais, pourrait-elle "changer" les choses ?
Qu'est-ce qui te différencierait ?
Quels moyens différents aurais-tu à offrir ?
J'attends, j'écoute, tous les points de vue sont intéressants, pourvu qu'ils soient constructifs (?)
Voilà !
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