Jacques Lévine est mort
Posté : 24 oct. 2008 20:51
La nouvelle de la disparition de Jacques Lévine, en ces temps où les plus faibles, les plus petits, les plus fragiles ont à subir les chamboulements d'un monde qui va trop vite et les laisse de côté, me rend triste.
La découverte de Je est un autre a été un moment important de mon travail d'enseignant, puis d'enseignant spécialisé, désormais en charge de la scolarisation des élèves handicapés.
Le choix de toujours considérer l'enfant comme sujet est une des leçons que je retiens de ce vieux monsieur combatif dont j'avais découvert le charisme lors d'une journée à Cergy.
La pensée de Jacques Lévine, sa rigueur, son ouverture, son souci du détail et d'une observation toujours affinée, continueront d'habiter les quelques uns, nombreux, qui ont eu la chance de le croiser et/ou de croiser son œuvre.
"La mort, disait Dolto, c'est la fin de la vie". Maintenant la vie de Jacques Lévine est un tout achevé, qui a encore des choses à nous dire pour demain, par sa force et sa cohérence.
J'aimais beaucoup ce vieux monsieur.
La tristesse est là, mais l'espoir demeure d'un monde plus attentif aux gens de peu.
La découverte de Je est un autre a été un moment important de mon travail d'enseignant, puis d'enseignant spécialisé, désormais en charge de la scolarisation des élèves handicapés.
Le choix de toujours considérer l'enfant comme sujet est une des leçons que je retiens de ce vieux monsieur combatif dont j'avais découvert le charisme lors d'une journée à Cergy.
La pensée de Jacques Lévine, sa rigueur, son ouverture, son souci du détail et d'une observation toujours affinée, continueront d'habiter les quelques uns, nombreux, qui ont eu la chance de le croiser et/ou de croiser son œuvre.
"La mort, disait Dolto, c'est la fin de la vie". Maintenant la vie de Jacques Lévine est un tout achevé, qui a encore des choses à nous dire pour demain, par sa force et sa cohérence.
J'aimais beaucoup ce vieux monsieur.
La tristesse est là, mais l'espoir demeure d'un monde plus attentif aux gens de peu.