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Bonsoir à tous,

Je profite du début des vacances scolaires pour réitérer ma question concernant les "fameuses" années d'enseignement effectif !
Voilà ce que j'ai trouvé pour prétendre, par exemple, au stage DEPS :
Les conditions ci-dessous doivent être remplies au 1er octobre 2009 :

* être instituteur ou professeur des écoles titulaire ;
* justifier de la licence de psychologie (à la date d'entrée en formation) ;
* avoir effectué, avant l'entrée dans le cycle de formation, trois années de services effectifs d'enseignement dans une classe, équivalent à temps plein (les services effectués en tant que "faisant fonction" de psychologue scolaire, éducateur en internat ou chargé de rééducation ne sont pas considérés comme de l'enseignement).
Si je comprends bien ce qui était écrit, on parle de chargé de rééducation. Est-ce qu'une année comme maître E est considérée comme de la rééducation ?
Je vous remercie d'avance pour toutes les réponses.
Bien cordialement.

volcans a écrit :Est-ce qu'une année comme maître E est considérée comme de la rééducation ?

Probablement pas. Logiquement, ne peuvent considérées comme des tâches de "rééducation" que celles des maîtres G, ou des anciens RPP ou RPM.

Ceci dit, le texte que vous citez (Note de service n° 2007-154 du 8 octobre 2007 ?) ne valide que l'"enseignement dans une classe". Le travail des maîtres E ne s'effectuant pas "dans une classe" (sauf en classe d'adaptation), en toute logique (administrative !), votre année de maître E ne devrait pas pouvoir être prise en compte.

Bonsoir,

Merci beaucoup pour votre réponse.
Je vous souhaite d'excellentes vacances.
Cordialement,
Volcans

Bonjour,
Je suis maître E depuis 6 ans, avec seulement une année d'enseignement en classe, et je commence ma formation DEPS en septembre prochain ! Donc, les années en RASED en tant que maître E comptent bien comme années d'enseignement.
Je m'étais posée la même question il y a quelques années !
Bon courage pour la suite !
Stéphanie

Dont acte. L'interprétation des textes réglementaires est décidément un art délicat.

Reste à vérifier que l'interprétation favorable dont a bénéficié stéphanie est admise partout...